Laurent Berger, secrétaire national chargé de l’emploi, regrette que « le gouvernement ait opté pour un simple doublement du financement de l’État sur l'expérimentation d'un accompagnement renforcé à destination des salariés en fin de CDD et d’intérim ». Et de rappeler que « la CFDT souhaitait que l’État multiplie par dix sa participation et la porte à 30 millions d’euros. Avec un financement identique de l’Unedic, décidé par les partenaires sociaux, plus de 30 000 personnes auraient pu être aidées. »
Dans cette période, développer la formation pour les demandeurs d’emploi doit être un objectif prioritaire. Mais pour la CFDT, « ces formations doivent être adaptées aux projets personnels des demandeurs d’emploi, définis avec les conseillers qui les suivent » et non servir à dégonfler artificiellement les statistiques du chômage…
De même, alors que la CFDT avait demandé 2 000 emplois supplémentaires à Pôle emploi, seuls 1 000 CDD ont été accordés. Il ne fait pourtant aucun doute qu’« il faut aller plus loin car sans embauches durables, Pôle emploi n’arrivera pas s’occuper de tous les nouveaux inscrits » martèle Laurent Berger.
Enfin, la CFDT demande plus que jamais une extension et un recours simplifié au chômage partiel. En effet, conclue le secrétaire national, « il est nécessaire de profiter de ces périodes pour développer la formation des salariés ».
Dans cette période, développer la formation pour les demandeurs d’emploi doit être un objectif prioritaire. Mais pour la CFDT, « ces formations doivent être adaptées aux projets personnels des demandeurs d’emploi, définis avec les conseillers qui les suivent » et non servir à dégonfler artificiellement les statistiques du chômage…
De même, alors que la CFDT avait demandé 2 000 emplois supplémentaires à Pôle emploi, seuls 1 000 CDD ont été accordés. Il ne fait pourtant aucun doute qu’« il faut aller plus loin car sans embauches durables, Pôle emploi n’arrivera pas s’occuper de tous les nouveaux inscrits » martèle Laurent Berger.
Enfin, la CFDT demande plus que jamais une extension et un recours simplifié au chômage partiel. En effet, conclue le secrétaire national, « il est nécessaire de profiter de ces périodes pour développer la formation des salariés ».
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