mercredi 28 octobre 2009

ADHEREZ EN LIGNE A LA CFDT A PARTIR DU SITE CONFEDERAL OU FEDERAL

Nos adhérents
Avec 814 363 adhérents au 31 décembre 2008, la CFDT est la première confédération syndicale française en nombre d'adhérents. Retrouvez les explications d'Hervé Garnier, le secrétaire national en charge de la syndicalisation.

Pour la deuxième année consécutive, le nombre d’adhérents de la CFDT a augmenté en 2008. Concrètement qu’est-ce que cela veut dire ?

Au 31 décembre 2008, nous étions 814 363 adhérents, ce qui fait de la CFDT, la première organisation syndicale française en nombre d’adhérents. Sur l’année 2008, 70 000 nouveaux salariés ont adhéré à la CFDT, mais dans le même temps près de 55 000 en sont partis. Cet important turn-over est souvent dû à la mobilité professionnelle et à la précarité et bien sûr aux départs à la retraite. Si le nombre de nos adhérents retraités progresse, trop peu de salariés savent qu’ils peuvent rester à la CFDT après leur carrière professionnelle.

45,8 % des adhérents à la CFDT sont des adhérentes, ce qui place la CFDT dans les toutes premières places en Europe en matière de féminisation des syndicats.


Qu’est-ce que cela apporte à un salarié d’adhérer à la CFDT ?

Tout d'abord, être adhérent à la CFDT permet de bénéficier d’un soutien individuel en cas de problèmes dans son travail ou avec son employeur, par le biais notamment de l’assurance professionnelle et de la Cnas.

Ensuite, cela permet d’être acteur de la vie de la CFDT en participant aux débats de sa section et de son syndicat pour construire des revendications. C’est comme cela que l’on peut peser au jour le jour sur les décisions prises dans son entreprise.

Enfin, être adhérent à la CFDT, c’est également donner un sens à la solidarité et être acteur de sa propre émancipation, qui sont deux des valeurs capitales de l’engagement à la CFDT.


Pourquoi est-ce si important d’être toujours plus nombreux à la CFDT ?

Plus on est nombreux, plus on est représentatifs de l’ensemble du salariat, sous toutes ses formes. C’est cette connaissance du salariat qui nous permet d’être le plus pertinent possible dans notre perception du monde du travail et donc dans nos revendications.

De plus, être nombreux nous permet de maintenir un rapport de force en notre faveur que ce soit au plan national ou dans l’entreprise. Une revendication a plus de chance d’être entendue si elle est portée par une section d’entreprise nombreuse que par un individu isolé. Dans tous les cas, nos 815 000 adhérents représentent notre légitimité à parler au nom et pour les salariés !





Pour nous rejoindre, cliquez sur le logo pour adhérer en ligne en allant sur consulter les blog cfdt adhesion en ligne

EDWIGE BIS

Communiqué de presse n°86 du 19 octobre 2009
Déclaration d'Anousheh Karvar, secrétaire nationale - Sécurité publique, Au secours, Edvige revient !
Le gouvernement vient de ressusciter le fichier Edvige sous une forme déguisée. Ce week-end, il a publié deux décrets pour créer deux fichiers. L’un est relatif à la prévention des atteintes à la sécurité publique, l’autre aux enquêtes administratives liées à la sécurité publique.


La notion juridiquement floue de « sécurité publique » est toujours à l’œuvre. Le recueil de données sur la base de « l’origine géographique » des personnes est un artifice sémantique destiné à remplacer le terme « origine ethnique », vivement contesté par la CFDT dans le décret précédent.

Les aspects fâcheux du décret Edvige, comme le fichage des activités syndicales, sont maintenus par le biais d’un article qui autorise des dérogations à la loi informatique et libertés. Il en est de même pour le fichage des mineurs dès l’âge de 13 ans.

En se saisissant des événements regrettables de Poitiers pour légiférer dans l’urgence, le gouvernement fait fausse route et rompt avec ses engagements politiques. Le projet de loi encadrant la création des fichiers proposé par les députés reste dans les tiroirs de l’Assemblée nationale. Le débat parlementaire promis n’aura donc pas lieu.

La CFDT étudiera, avec les organisations associées au recours contre le premier projet de décret Edvige, les moyens d’obtenir ce débat pour un véritable encadrement de la finalité, des conditions et des moyens de contrôle du fichage.
© CFDT (mis en ligne le 19 octobre 2009)

lundi 26 octobre 2009

tract du 26 octobre 2009 EDUCATION VILLE DE MARSEILLE

EDUCATION

PRIME DE FIN D’ANNEE

Le montant de la prime sera de 1336 euros brut, partie fixe 802 euros, partie modulable 534 euros
La période de référence du calcul se situe du 01/10/2008 au 30/09/2009.
La prime sera versée avec le traitement de novembre 2009.

RECUPERATION du mercredi 7 janvier 2009 (jour de neige)

Tout arrive, les agents ayant travailler ce jour-là bénéficient d’une récupération…normal, non ?

TEMPS NON COMPLETS

A partir de 2010, ils pourront bénéficier des 12 jours enfants malades et des 3 jours d’hospitalisation, de la carte CAS ainsi que celle de la RTM.

LUTTE CONTRE L’ABSENTEISME

A la demande su secrétaire général, la Direction des Ressources Humaines met en place en complément des contrôles existants une procédure renforcée de contrôle individuel des agents à domicile en cas de congés de maladie.
Il s’agit d’un contrôle médical et pas seulement d’un contrôle de présence au domicile de l’agent.
Tout agent en maladie sera donc susceptible de faire l’objet d’un contrôle de la part d’un médecin agréé dés le premier arrêt de travail et quelle qu’en soit sa durée.

Pour la section
Christine ABBINANTI

tract du 26 octobre 2009 Direction Propreté Urbaine

Section MPM
PROPRETE URBAINE


Une délégation de ce service a été reçue le 26 octobre par le Directeur, voici le compte rendu de cet entretien :

LES VŒUX :

Ils ont été envoyés aux agents le 23 octobre, veillez à les faire parvenir à la DPU avant le 15 novembre 2009. Chaque agent doit émettre 3 vœux par ordre de préférence.
Les critères que l’Administration retiendra seront : l’ancienneté (secteur, grade) ; la notation ; le micro absentéisme

POINTEURS ET GARDIENS :

Les pointeurs seront reçus le 28 octobre, l’Administration souhaite dans un souci d’homogénéité que leur rythme de travail ainsi que ceux des gardiens passent en 6/1/2.

MAITRISE :

Les chefs de secteurs connaissent déjà leur affectation établie en concertation avec le Directeur Général Adjoint.
Les chefs de secteurs peuvent proposer un adjoint de leur choix.

CANTONNIERES :

Nous avons abordé le thème de leur cycle de travail spécifique l’Administration ne peut pour le moment envisager une modification.
Il sera tenu compte des problèmes de dotations vestimentaires, d’équipement de protection individuelle lors du passage des prochains marchés.
Il est à l’étude un modèle plus adapté de poussac (légèreté, maniabilité)

LOGISTIQUE :

Cycles de travail, vacation matin en 6/1/2, quelques agents de la logistique nord matin travailleront en cycle 6/3.
Logistique Après-midi : petite et grande semaine.



SECTEUR MCP 13 :

Rumeur…Rumeur : Les bennes continueront à partir de Plombières, affirmation confirmée par la direction.
Une collecte de nuit sera effectuée sur les grands axes ce qui va entraîner une modification des tournées de collecte du matin.

La CFDT INTERCO 13 RESTE ATTENTIVE AUX ATTENTES DES AGENTS AINSI QU’AU BON DEROULEMENT DE CETTE RESTRUCTURATION.


Le délégué D.P.U
Gérard CIMMELLI

Marseille Amenagement :une gestion désastreuse

mercredi 21 octobre 2009

PETITE ENFANCE

21/10/2009
Pas d'accueil de la petite enfance au rabais !
La Fédération INTERCO dénonce avec force toute tentative de déqualification de la politique d'accueil de la petite enfance. La fédération a écrit à Madame Nadine MORANO, Secrétaire d'Etat chargée de la Famille et de la Solidarité pour lui faire part de sa préoccupation.


Paris le 20 octobre 2009

La Fédération INTERCO dénonce avec force toute tentative de déqualification de la politique d'accueil de la petite enfance !

Nous avons déjà eu l'occasion de manifester notre désaccord avec l'assouplissement des normes d'accueil des jeunes enfants tant auprès de Madame TABAROT, députée chargée d'une réflexion sur les moyens à mettre en œuvre pour développer l'offre d'accueil que par notre signature de la pétition "Pas de bébé à la consigne".

Malgré la levée de boucliers contre le projet de réforme du décret de 2007 relatif aux établissements et services d'accueil des enfants de moins de 6 ans, un nouveau texte serait en cours d'arbitrage interministériel et pourrait être publié prochainement.

Si l'objectif de développer l'offre de garde est louable, les méthodes pour y parvenir ne peuvent que nous inquiéter et la dégradation des conditions de travail des salariés est pour nous synonyme de dégradation de la qualité de l'accueil que les familles sont en droit d'attendre.

La fédération INTERCO a écrit à Madame Nadine MORANO, Secrétaire d'Etat chargée de la Famille et de la Solidarité pour dénoncer ce que nous considérons comme une véritable déqualification de la politique de l'accueil de la petite enfance.

Lettre de la fédération à Mme Nadine MORANO

Madame Nadine MORANO
Secrétaire d’Etat chargée de la famille et de la Solidarité
14, avenue DUQUESNE
75007-PARIS


Paris, le 16 octobre 2009

Madame le Ministre,

La volonté des pouvoirs publics de développer l’offre d’accueil de la petite enfance est légitime parce que c’est une condition du développement de l’emploi féminin et une mesure en faveur de l’égalité des chances dont les plus défavorisés peuvent tirer de grands bénéfices.

Toutefois, si la Fédération INTERCO approuve la volonté de créer 200 000 places d’accueil d’ici 2012 comme le précise le PLFSS 2010, elle dénonce avec véhémence toute modification de la règlementation qui porterait atteinte à la qualité de l’accueil des jeunes enfants et aux conditions de travail des salariés de la petite enfance.

Nous avons déjà eu l’occasion de manifester notre désaccord avec l’assouplissement des normes d’accueil tant auprès de Madame TABAROT que par notre signature de la pétition « pas de bébé à la consigne».

Aujourd’hui notre position reste la même et c’est pourquoi nous n’approuvons pas :
- le projet de diminuer la proportion de professionnels qualifiés dans les établissements et services d’accueil des jeunes enfants,
- l’augmentation du nombre d’enfants pouvant être confiés à une Assistante maternelle,
- l’allègement de la qualification des directeurs de structures,
- l’accueil en surnombre facilité voire encouragé,
- la diminution de l’expérience requise,
- la possible disparition du projet social et du projet éducatif dans les établissements.

Pour nous, ces modifications envisagées sont dangereuses à double titre.
Elles portent atteinte aux conditions d’une bonne prise en compte des besoins fondamentaux des jeunes enfants.
Elles portent atteinte aux conditions de travail des agents et nous affirmons que lorsque les conditions de travail régressent, c’est la qualité de l’accueil qui en est affectée.

Par ailleurs, aller dans le sens d’un assouplissement des normes d’accueil de la petite enfance, c’est au final favoriser la déqualification de professions quasi- exclusivement exercées par des femmes. C’est contraire au principe d’égalité auquel nous restons très attaché et que nous devons tous défendre !

Nous vous prions d’agréer, Madame le Ministre, l’expression de notre considération distinguée.

Marie-Odile ESCH
Secrétaire Générale

REFONTE DES GRILLES DE LA CATEGORIE B - PROPOSITIONS DU GOUVERNEMENT

REFONTE DES GRILLES DE LA CATEGORIE B
PROPOSITIONS DU GOUVERNEMENT


I. Création d’un nouvel espace statutaire (NES)
Un nouvel espace statutaire (NES) est créé pour les agents relevant du B-type et du CII.
Structuré en trois grades, cette nouvelle grille sera directement accessible par la voie du concours au niveau des premier et deuxième grades.
Le premier grade correspondra à un recrutement de niveau IV (baccalauréat) et le deuxième grade à un recrutement de niveau III (bac +2).
Le deuxième grade sera donc tout à la fois un grade de recrutement et un grade d’avancement accessible, par la voie de l’examen professionnel et par la voie de la liste d’aptitude, aux personnels titulaires du premier grade.

Les bornages indiciaires seront les suivants (IB = Indice Brut) :
- Premier grade : IB 324 – IB 576
- Deuxième grade : IB 339 – IB 614
- Troisième grade : IB 404 – IB 660
L’indice brut sommital du troisième grade sera porté à 675 au terme de la période 2009-2011.
Rappelons que la catégorie B démarre actuellement à l’indice brut 306 et culmine à l’indice brut 612.

II. Reclassement sur le nouvel espace statutaire
Les personnels membres des cadres d’emplois culminant à l’IB 612 (B-type) (1) seront reclassés dans les conditions suivantes :
- les agents titulaires du premier grade seront reclassés dans le premier grade de la nouvelle grille;
- les agents titulaires du deuxième grade seront reclassés dans le deuxième grade de la nouvelle grille;
- les agents titulaires du troisième grade seront reclassés dans le troisième grade de la nouvelle grille.

Les personnels membres des cadres d’emplois culminant à l’IB 638 (CII) (2) et constitués de trois grades seront reclassés dans les conditions suivantes :
- les agents titulaires du premier grade seront reclassés dans le deuxième grade de la nouvelle grille ;
- les agents titulaires du deuxième et du troisième grade seront reclassés dans le troisième grade de la nouvelle grille.
Les personnels membres des cadres d’emplois culminant à l’IB 638 (CII) (3) et constitués de deux grades seront reclassés dans les conditions suivantes :
- les agents titulaires du premier grade seront reclassés dans le deuxième grade de la nouvelle grille ;
- les agents titulaires du deuxième grade seront reclassés dans le troisième grade de la nouvelle grille.

III. Champ, modalités et calendrier de la mise en oeuvre de la réforme
A. Les cadres d’emplois dits de B type, et les cadres d’emplois de CII technique «type»
La revalorisation des grilles de catégorie B sera mise en oeuvre dans la fonction publique territoriale selon le même calendrier que celui retenu pour la fonction publique de l’Etat, c'est-à-dire à compter de 2009, et au plus tard fin 2011.

B. Les cadres d’emplois dont la structure de carrière est plus atypique
Les revalorisations devront intervenir au plus tard fin 2011 (4).

C. Les cadres d’emplois sanitaires et sociaux
La réflexion actuellement conduite sur l’intégration des études infirmières dans le système LMD conduit à établir une distinction entre les corps sanitaires et les autres corps classés en catégorie B. Lorsque le cycle de concertation sur la formation et le métier infirmier, conduit par le ministère de la santé, aura abouti, c'est-à-dire à compter du second semestre 2009, la concertation sur la grille des infirmières s’engagera au vu de l’évolution du métier infirmier.
Compte tenu du poids de la filière sociale dans la fonction publique territoriale, la transposition de la réforme aux cadres d’emplois sociaux de catégorie B conduira à des concertations associant les organisations signataires du troisième volet du relevé de conclusion du 21 février 2008, les employeurs territoriaux, le ministère chargé des affaires sociales et la DGAFP.
(1) B-type : Rédacteurs / Animateurs / Contrôleurs de travaux / Educateurs des activités
physiques et sportives / Assistants de conservation du patrimoine et des bibliothèques /
Chefs de service de police municipale

(2) CII à 3 grades : Educateurs de jeunes enfants / Techniciens supérieurs / Assistants
qualifiés de conservation du patrimoine et des bibliothèques / Infirmiers de sapeurs-pompiers
professionnels

(3) CII à 2 grades : Assistants socio-éducatifs / Infirmiers / Rééducateurs / Assistants médico-techniques / Majors et lieutenants de sapeurs-pompiers professionnels (indice de début de grille supérieur à celui du CII)

(4) B atypiques (un seul grade) : Assistants d’enseignement artistique / Assistants spécialisés
d’enseignement artistique / Moniteurs éducateurs

Presse indépendante avez vous dit?

Le Ravi, le mensuel régional qui ne veut pas baisser les bras
Par Rémi Leroux | Rue89 | 01/10/2009 | 15H47
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Décidément, rien ne va plus dans le paysage médiatique marseillais. Après Marseille89, qui a du réduire la voilure au printemps dernier ; Tribune du Sud, quotidien papier qui n'aura vécu que quelques semaines ; La Chaîne Marseille qui attend toujours de savoir à quelle sauce son repreneur la mangera ; et une Provence en mal de diffusion, voilà que le mensuel régional satirique Le Ravi est à son tour en crise.

Né il y a six ans, Le Ravi compte trois salariés et une quarantaine de participants et bénévoles (rédacteurs, dessinateurs, correctrices, diffuseurs, administrateurs) qui font vivre chaque mois un support original, indépendant et irrévérencieux. Diffusé à 1500 exemplaires chaque mois, le journal satirique compte également quelque quatre cents abonnés.

Autofinancé pour un « petit tiers » de ses recettes (ventes, pub, adhésions, etc.), le journal bénéficie également de subventions (édition, aide à l'emploi, etc.) mais dégage l'essentiel de ses ressources des « actions citoyennes » menées par ses journalistes et dessinateurs dans le cadre de l'éducation à la presse et à la satire en milieux scolaire, carcéral, dans les centres sociaux ou à l'occasion des rencontres et débats organisés avec ses lecteurs.

Aujourd'hui confronté à des problèmes financiers lourds, Le Ravi doit trouver 30 000 euros d'ici la fin de l'année 2009 pour pouvoir poursuivre l'aventure. Par ailleurs partenaire privilégié de Marseille89, le mensuel a lancé la semaine dernière un appel à souscription pour tenter de sortir de l'ornière :

« Les petites galères accumulées, la baisse générale des ventes dans la presse et la fin de certaines aides à l'emploi plombent nos comptes. Au point d'envisager des licenciements, voire, sans votre aide, cesser la parution. »


Une perspective qui n'aurait évidemment rien de réjouissant pour l'indépendance et la liberté de la presse en région.

A lire aussi sur Rue89 et sur Eco89
► Tous les articles du Ravi
Ailleurs sur le Web
► Le site du Ravi

le ravi marseille presse

lundi 19 octobre 2009

La propreté en ville: Eh bien parlons-en!

Mais que veulent dire ces discussions
Entre partisans du même mouvement?

La propreté en ville: Eh bien parlons-en!

Renaud MUSELIER, en plein Conseil Communautaire, prend la parole et considère que (Sa, Notre belle) la ville de Marseille n'a jamais été aussi sale!

Commentaire: Juste quelques jours de pluies fortes, ont redonné à la ville
(Un teint de jeune fille de 2600 ans quand même!) Une fraîcheur printanière.

C'est une réflexion que l'on peut se faire. A Marseille, il ne pleut pas suffisamment!
Mais, quand il pleut, c'est la mer qui est polluée, exutoire naturel de la pluie laquelle suit toujours la Loi de la Gravitation.
Or la qualité de l’eau de mer et des plages, ainsi que le traitement de l'eau de pluie est compétence ville de Marseille, tandis que les eaux usées sont compétences Communautaires.
Et à Marseille les réseaux sont souvent unitaires....
C'est à ce dilemme, que nous autres, pauvres observateurs sans Pouvoir (pour autant que nous resterons divisés), sommes conviés à prendre part.
Or, par notre condition de sujet, nous ne pouvons que regarder, et sommes appelés par cette « pseudo démocratie », à exprimer nos « propres opinions ».
Tandis que les Hommes de Pouvoir des Communauté Urbaine &Ville de Marseille (pouvoir que nous leur avons octroyé), se renvoient la balle, pour mieux nous enfumer, et encore plus nous diviser.

Nous savons* bien ce qui va arriver: Une augmentation d'une Taxe existante ou, au pire, la création d'une nouvelle Taxe laquelle viendra encore alourdir les difficultés financière des moins riches d'entre nous.

Nous avons pour nos auteurs, quasi contemporains internationalement connus et appréciés, Marcel PAGNOL et Jean GIONO, les yeux de Chimène.
Et, ceux-là auraient su nous rendre truculent le discours qui s'est passé, par médias interposés.
Donc Renaud MUSELIER en épinglant Eugène CASELLI (vieille revanche...), se voit contré par son ami Bruno GILLES, qui fait semblant de croire ou de comprendre que ce sont leurs alliés objectifs, les Syndicalistes de Force Ouvrière, qui sont indirectement attaqués par le premier.
Donc nous avons au premier plan les trois compères: Renaud, Bruno & F.O., et nous avons en prime un faire valoir Antoine ROUZEAU, qui vient casser du service public en traitant une frange d'éboueurs de: « tire aux flancs *».

Cette bataille entre les compères, tendant à prouver, que seule la disparition du Service Public, peut apporter, à la ville de Marseille, la propreté nécessaire pour devenir, comme de nombreuses autres capitales régionales européennes, la flamboyante et lumineuse Capitale Européenne de la Culture (qu'elle sera durant l'année 2013).
« Ce que nous avons vu à la télévision »

• Dernièrement, sur M6, nous était proposé un reportage, montrant deux équipes de ramassage d'ordures ménagères de la D.P.U..
• L'une consciencieuse, l'autre calamiteuse: la première était officiellement filmée par les « reporters » de la 6, les seconds en caméra cachée. La première rencontrait des difficultés, dont les causes sont bien connues:
• - Stationnement automobiles en dehors des aires réglementaires,
• - Dépôt des encombrants et des ordures à côté de leurs endroits réguliers de stockage,
• Les BONS Agents, Pour parfaire la mission de Service Public, comme lors d'une démarche d'Assurance Qualité ISO 9000, le chef de groupe, après la tournée, rédigeait la note décrivant les difficultés rencontrées et les améliorations à apporter,
• Les MAUVAIS Agents: Équipe de ramassage « caricaturalement » pressée d'en finir avec cette corvée, ajoutant toutes les dérives à la bonne exécution de la mission, avec vitesse excessive (nous aurait-on montré ce film en accéléré?), oubli de certains dépôts, vidage d'une partie de la poubelle sur la chaussée et arrivée au dépôt bien avant l'heure de fin de mission..... (le tout peu crédible).

Si le sujet n'était pas, en ce temps où le service public est menacé, hypersensible, on évoquerait, en les déplorant encore, les difficultés de Renaud MUSELIER, sur les quais du port de Marseille avec les Dockers CGT.
Lui, petit fils de l'Amiral, allant au devant des dockers, avait brutalement rencontré, contre sa volonté, une bande « d'assassins ou de fous téléguidés par on ne sait qui ».

Ce que nous savons, en revanche, c'est notre fragilité face à la volonté affirmée de vouloir casser le Service Public!

Lors de dernier Conseil Communautaire, chacun a voulu « marquer » son territoire, et bien montrer que les querelles intestines s'effaçaient dès lors que l'intérêt communautaire pouvait être fragilisé.

dimanche 18 octobre 2009

GRAVES LE SARKO ET LE HORTEFEUX!!!!

18 octobre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 51
. .
Décrets, arrêtés, circulaires
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER
ET DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
Décret no 2009-1249 du 16 octobre 2009 portant création d’un traitement de données
à caractère personnel relatif à la prévention des atteintes à la sécurité publique
NOR : IOCD0918274D
Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales,
Vu le code de procédure pénale, notamment son article 777-3 ;
Vu la loi no 78-17 du 6 janvier 1978 modifiée relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés,
notamment le II de son article 26 ;
Vu la loi no 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée d’orientation et de programmation relative à la sécurité,
notamment son article 17-1 ;
Vu le décret no 2007-914 du 15 mai 2007 modifié pris pour l’application du I de l’article 30 de la loi
no 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés ;
Vu l’avis de la Commission nationale de l’informatique et des libertés en date du 11 juin 2009 ;
Le Conseil d’Etat (section de l’intérieur) entendu,
Décrète :
Art. 1er. − Le ministre de l’intérieur est autorisé à mettre en oeuvre un traitement de données à caractère
personnel, intitulé « Prévention des atteintes à la sécurité publique », ayant pour finalité de recueillir, de
conserver et d’analyser les informations qui concernent des personnes dont l’activité individuelle ou collective
indique qu’elles peuvent porter atteinte à la sécurité publique.
Ce traitement a notamment pour finalité de recueillir, de conserver et d’analyser les informations qui
concernent les personnes susceptibles d’être impliquées dans des actions de violence collectives, en particulier
en milieu urbain ou à l’occasion de manifestations sportives.
Art. 2. − Peuvent être enregistrées dans le traitement, dans le respect des dispositions de l’article 6 de la loi
du 6 janvier 1978 susvisée et dans la stricte mesure où elles sont nécessaires à la poursuite de la finalité
mentionnée à l’article 1er, les catégories de données à caractère personnel suivantes :
1o Motif de l’enregistrement ;
2o Informations ayant trait à l’état civil, à la nationalité et à la profession, adresses physiques, numéros de
téléphone et adresses électroniques ;
3o Signes physiques particuliers et objectifs, photographies ;
4o Titres d’identité ;
5o Immatriculation des véhicules ;
6o Informations patrimoniales ;
7o Activités publiques, comportement et déplacements ;
8o Agissements susceptibles de recevoir une qualification pénale ;
9o Personnes entretenant ou ayant entretenu des relations directes et non fortuites avec l’intéressé.
Le traitement ne comporte pas de dispositif de reconnaissance faciale à partir de la photographie.
Art. 3. − L’interdiction prévue au I de l’article 8 de la loi du 6 janvier 1978 s’applique au présent
traitement.
Par dérogation, sont autorisés, pour les seules fins et dans le strict respect des conditions définies au présent
décret, la collecte, la conservation et le traitement de données concernant les personnes mentionnées à
l’article 1er et relatives :
18 octobre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 51
. .
à des signes physiques particuliers et objectifs comme éléments de signalement des personnes ;
– à l’origine géographique ;
– à des activités politiques, philosophiques, religieuses ou syndicales.
Il est interdit de sélectionner dans le traitement une catégorie particulière de personnes à partir de ces seules
données.
Art. 4. − Les données mentionnées aux articles 2 et 3 ne peuvent être conservées plus de dix ans après
l’intervention du dernier événement de nature à faire apparaître un risque d’atteinte à la sécurité publique ayant
donné lieu à un enregistrement.
Art. 5. − Les données mentionnées aux articles 2 et 3 ne peuvent concerner des mineurs que s’ils sont âgés
d’au moins treize ans et sont au nombre des personnes mentionnées à l’article 1er. Ces données ne peuvent
alors être conservées plus de trois ans après l’intervention du dernier événement de nature à faire apparaître un
risque d’atteinte à la sécurité publique ayant donné lieu à un enregistrement.
Art. 6. − Dans la limite du besoin d’en con
naître, y compris pour des enquêtes administratives prévues par
le premier alinéa de l’article 17-1 de la loi du 21 janvier 1995 susvisée, sont autorisés à accéder aux données
mentionnées aux articles 2 et 3 :
1o Les fonctionnaires relevant de la sous-direction de l’information générale de la direction centrale de la
sécurité publique, individuellement désignés et spécialement habilités par le directeur central de la sécurité
publique ;
2o Les fonctionnaires des directions départementales de la sécurité publique affectés dans les services
d’information générale, individuellement désignés et spécialement habilités par le directeur départemental ;
3o Les fonctionnaires de la préfecture de police affectés dans les services chargés du renseignement,
individuellement désignés et spécialement habilités par le préfet de police.
Les fonctionnaires des groupes spécialisés dans la lutte contre les violences urbaines ou les phénomènes de
bandes, individuellement désignés et spécialement habilités par le directeur départemental de la sécurité
publique ou par le préfet de police, sont autorisés à accéder aux données mentionnées aux articles 2 et 3
relevant de la finalité mentionnée au deuxième alinéa de l’article 1er.
En outre, peut être destinataire des données mentionnées aux articles 2 et 3, dans la limite du besoin d’en
connaître, tout autre agent d’un service de la police nationale ou de la gendarmerie nationale, sur demande
expresse précisant l’identité du demandeur, l’objet et les motifs de la consultation. Les demandes sont agréées
par les responsables des services mentionnés aux 1o à 3o.
Art. 7. − Les consultations du traitement automatisé font l’objet d’un enregistrement comprenant
l’identifiant du consultant, la date, l’heure et l’objet de la consultation. Ces informations sont conservées
pendant un délai de cinq ans.
Sont conservées pendant le même délai les demandes mentionnées au dernier alinéa de l’article 6.
Art. 8. − Le traitement ne fait l’objet d’aucune interconnexion, aucun rapprochement ni aucune forme de
mise en relation avec d’autres traitements ou fichiers.
Art. 9. − Conformément aux dispositions de l’article 41 de la loi du 6 janvier 1978 susvisée, le droit
d’accès aux données s’exerce auprès de la Commission nationale de l’informatique et des libertés.
Le droit d’information prévu au I de l’article 32 et le droit d’opposition prévu à l’article 38 de la même loi
ne s’appliquent pas au présent traitement.
Art. 10. − Le traitement mis en oeuvre en application du présent décret est soumis au contrôle de la
Commission nationale de l’informatique et des libertés dans les conditions prévues à l’article 44 de la loi du
6 janvier 1978 susvisée.
En outre, le directeur général de la police nationale présente chaque année à la Commission nationale de
l’informatique et des libertés un rapport sur ses activités de vérification, de mise à jour et d’effacement des
données enregistrées dans le traitement, notamment celles relatives aux mineurs mentionnés à l’article 5. Ce
rapport annuel indique également les procédures suivies par les services gestionnaires pour que les données
enregistrées soient en permanence exactes, pertinentes et non excessives au regard des finalités pour lesquelles
elles sont collectées.
Art. 11. − A l’article 1er du décret du 15 mai 2007 susvisé, il est rétabli un dixième alinéa ainsi rédigé :
« 9. Décret portant création de l’application relative à la prévention des atteintes à la sécurité publique. »
Art. 12. − Le présent décret est applicable sur tout le territoire de la République.
Art. 13. − Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales est chargé de l’exécution
du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 16 octobre 2009.
18 octobre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 51
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FRANÇOIS FILLON
Par le Premier ministre :
Le ministre de l’intérieur,
de l’outre-mer et des collectivités territoriales,
BRICE HORTEFEUX

samedi 17 octobre 2009

ECOLES D'ARTS

Paris, le 22 juillet 2009




Monsieur Frédéric MITTERRAND
Ministre de la Culture et de la Communication
3, rue de Valois 75001 Paris




Monsieur le Ministre,





Nos syndicats CFDT-Culture et CFDT-Interco ont pris connaissance et soutenu les nombreuses revendications et propositions émises, tant par les étudiants que par l'ensemble des personnels des écoles supérieures d'art, nationales et territoriales visant à :

 la sauvegarde du maillage territorial des écoles supérieures d'art et de celle de la diversité de son réseau ;
 l'harmonisation des statuts des personnels et plus particulièrement de celui des enseignants ;
ainsi qu'
 au maintien des spécificités de l'enseignement des arts plastiques et de la recherche pratiquée dans ces établissements face au modèle universitaire.

Par ailleurs, nous avons été informés de la mise en place de deux groupes de travail dans l'attente de nouvelles instances, à savoir : le Conseil des arts plastiques pour l'enseignement supérieur et les trois commissions qui en découlent (commission permanente, commission de la recherche et commission professionnelle consultative).

L'activité de ces groupes de travail a suscité notre intérêt, mais nous nous étonnons de la méthode qui a prévalu notamment dans le choix de la composition du groupe sur "les écoles territoriales" dans la mesure où les syndicats représentatifs territoriaux ne sont pas présents, pas plus qu'ils ne le sont dans la composition du Conseil des arts plastiques pour l'enseignement supérieur, la recherche et l'emploi, alors que 47 sur 57 des écoles supérieures d'art sont territoriales et que leurs personnels relèvent du statut de la fonction publique territoriale.

Si nous ne sommes pas opposés à la possibilité offerte aux collectivités territoriales de créer de nouvelles catégories d'établissements destinés à favoriser la coopération entre les collectivités territoriales, leurs groupements et l'État, nous tenons à affirmer notre plus vive volonté de voir se concrétiser la modification du statut des enseignements des écoles supérieures d'art comme le préconise le rapport du CSFPT adopté le 20 février 2008, à l'unanimité en assemblée plénière, après avoir fait l'objet d'un consensus parmi les représentants des personnels et des employeurs.




Des interrogations et des doutes persistent pour les personnels territoriaux concernés qui ne peuvent se satisfaire de ne pas être représentés par leurs syndicats territoriaux dans les instances examinant toutes mesures relatives au fonctionnement et à l'organisation des établissements d'enseignement supérieur des arts plastiques ainsi que dans les groupes de travail traitant de la nature des établissements et du statut des enseignants.

C'est la raison pour laquelle nous sollicitons de votre bienveillance une audience qui nous permettra d'exposer et de préciser nos attentes en matière d'harmonisation du réseau des écoles et des statuts des enseignants afin que soient données de réelles réponses à de vrais problèmes, sans que puisse être remis en cause l'équilibre des territoires, faute de pilotage national et de prise en compte des problématiques des écoles qui ne seraient pas passées en EPCC.


Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l'expression de nos respectueuses salutations.






Michèle DUCRET Marie-Odile ESCH
Secrétaire Générale Adjointe Secrétaire Générale
de la CFDT-Culture de la fédération CFDT-Interco

PRIME DE FIN D'ANNEE TERRITORIAUX MPM et VILLE DE MARSEILLE

Le montant de la prime de fin d'année sera de 1336 euros brut, partie fixe 60 % soit 802 euros, partie modulable 40 % soit 534 euros.
La période de référence du calcul se situe du 01/10/2008 au 30/09/2009. Il est à noter que la partie modulable varie en fonction du nombre de jours d'absence pour maladie, dans la limite de 40 jours.
Les retenues s'effectuent à partir du 4ème jour de maladie.
La prime sera versée sur le traitement de novembre 2009.

vendredi 16 octobre 2009

SE TUER AU TRAVAIL !

Se tuer au travail ” est une expression imagée qui indique l’engagement personnel dans la tâche à accomplir… Cette expression prend une signification insupportable quand elle s’applique à une femme ou à un homme qui commet l’irréparable en le liant à son vécu dans l’entreprise.

La succession des suicides de salariés à France Télécom ( après ceux de Renault, EDF… ) a permis de rendre visible l’autre effet des mutations, des restructurations et de la crise : celui qui ne touche pas l’emploi mais cette “ face cachée ” des entreprises que sont le travail, son contenu et son évolution.

Ainsi, la question du stress au travail se retrouve à la Une de l’actualité. Le ministre en personne s’en empare, les dirigeants d’entreprise reconnaissent un à un qu’ils ont sous-estimé ce phénomène qui allait être dorénavant pris en charge. L’État lui-même, dans son rôle d’actionnaire comme en tant qu’employeur direct, a sa part de responsabilités et n’a pas de leçon à donner. Pourvu que l’émotion légitime et sa médiatisation ne transforment pas l’enjeu de société ainsi mis au jour en séquence à zapper… en « mode », pour reprendre l’expression du président de France Télécom.

Depuis les différentes actions de la CFDT sur l’intensification du travail – dont l’ouvrage collectif Le travail intenable, publié en juin 2006, était une des contributions essentielles – jusqu’au guide Agir sur les risques psychosociaux, édité en juin dernier, les équipes ne découvrent pas cette situation. Pourtant quelque chose est peut-être en train de changer vraiment.

L’accord sur le stress signé en 2008 a été un premier signe permettant aux employeurs de sortir du déni. Il s’agit maintenant de le mettre en œuvre et de ne pas se laisser entraîner vers de fausses solutions miracles. Cela ne consiste donc pas à aider les salariés à supporter le stress, ni à se contenter de repérer ceux qui seraient prétendument fragiles. La question du stress et globalement celle des conditions de travail doivent se traiter en amont à partir des questions d’organisation du travail, du sens à lui donner, des espaces de dialogue pour en discuter. Il faut s’attaquer à ses racines, en particulier aux objectifs parfois inatteignables assignés en cascade par la hiérarchie, et aux modes de management.

Notre devoir est, en finalité, de lier cet enjeu sur le contenu du travail et ses conséquences au débat essentiel sur la gouvernance des entreprises et sur les critères de gestion qui servent à évaluer ses dirigeants.
Jean-Louis Malys, secrétaire national

mardi 13 octobre 2009

résultats des votes du congrés interco 13 du 9 octobre 2009

ELECTION DU BUREAU
CANDIDATS total %


ABBINANTI Christine 177 mandats 76,62% ELU
ABDELKADER Boualam 62 mandats 26,84%
AILLAUD Marc 231 mandats 100 % ELU
ATTANASIO Michel 146 mandats 63,2 % ELU
BENDERRADJI Sabba 225 mandats 97,4 % ELU
BENHAYOUN Cécile 84 mandats 36,36%
CHOUBARD Nadine 0 0
CIMMELLI Gérard 43 mandats 18,61%
COULOMB Annie 194 mandats 83,98 % ELU
D'AMBROSIO Roland 231 mandats 100 % ELU
DELLI CARRI Gilbert 213 mandats 92,21 % ELU
DOMENGET Roger 113 mandats 48,92%
FABBRI Louis 0 0
FAVAND Chantal 56 mandats 24,24%
GABANOU Grégory 231 mandats 100 % ELU
GUILLERMET Jocelyne 110 mandats 47,62%
JACQUEL Brigitte 176 mandats 76,19 % ELU
JACQUEL Jean-Pierre 214 mandats 92,64 % ELU
JACQUOT Michel 41 mandats 17,75%
JULLIEN Raymond 214 mandats 92,64 % ELU
MANIVET Valérie 197 mandats 85,28 % ELU
MARINONI Sébastien 194 mandats 83,98 % ELU
MOLMERET Gilles 94 mandats 40,69%
NUNEZ Thierry 90 mandats 38,96%
PANFILI COLLOMP Françoise 65 mandats 28,14%
PEILLARD Laurent 96 mandats 41,56%
REY Robert 157 mandats 67,97 % ELU
ROUBIEU Stéphane 218 mandats 94,37 % ELU
SCHWING Valérie 74 mandats 32,03%


RESULTATS MODIFICATIONS STATUTAIRES
Modifications du règlement intérieur


POUR 91% CONTRE 3 % ABSTENTION 6%


RESULTATS MODIFICATIONS STATUTAIRES
Modifications des statuts


POUR 88% CONTRE 2 % ABSTENTION10%


RESULTATS BILAN D'ACTIVITE


POUR 92,64% CONTRE 0% ABSTENTION 7,36%


RESULTATS BILAN FINANCIER


POUR 92,64% CONTRE 0 % ABSTENTION 7,36%


RESULTATS RESOLUTION


POUR 92,64% CONTRE 7,36% ABSTENTION 0%






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samedi 10 octobre 2009
Congrès CFDT INTERCO 13



Membres de la commission éxecutive



Jean pierre JACQUEL Secrétaire Départemental INTERCO 13

Gregory GABANOU Trésorier


Roland D'AMBROSIO Secrétaire Départemental Adjoint

Sabba BENDERRADJI Secrétaire Départemental Adjoint

Sébastien MARINONI Secrétaire Départemental Adjoint


Bureau élus


Raymond JULIEN Membre du Bureau

Christine ABBINANTI Membre du Bureau

Michel ATTANASIO Membre du Bureau

Marc AILLAUD Membre du Bureau

Brigitte JACQUEL Membre du Bureau

Annie COULOMB Membre du Bureau

Gilbert DELLICARI Membre du Bureau

Valérie MANIVET Membre du Bureau

Robert REY Membre du Bureau

Stéphan ROUBIEU Membre du Bureau



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lundi 12 octobre 2009

CONGRES INTERCO 13 :la cfdt signe la pétition contre les expulsions

La CFDT signe la pétition contre les retours forcés en Afghanistan
François Chérèque, au nom de la CFDT, fait partie des premiers signataires de la pétition lancée par France Terre d’Asile.
Au nom du respect des droits de l’Homme, la CFDT participe à la campagne de signatures contre les retours forcés en Afghanistan lancée par France Terre d’Asile et de nombreux partenaires européens. Suite au démantèlement de « la jungle » de Calais ou survivaient de nombreux migrants Afghans en attendant de rejoindre l’Angleterre, la France a annoncé leur reconduite de force dans un pays en guerre où nul de peut garantir leur sécurité. La pétition demande aux Etats membres de l'Union européenne de « suspendre provisoirement les renvois forcés vers l’Afghanistan » et de réfléchir à l’instauration d’un « régime d’asile européen commun protecteur et solidaire entre les Etats membres et avec le reste du monde ».


Signer la pétition sur www.france-terre-asile.org/petition


© CFDT (mis en ligne le 19 octobre 2009)
Fermer la fenetre




Bureau :
CR : Julien Raymond
Arles : Aillaud Marc
Istres : Jacquel Brigitte, Marinoni Sébastien
Marseille : Abbinanti Christine
Martigues : Attanasio Michel, D'Ambrosio Roland
St Martin de Crau : Rey Robert
St Mitre les Remparts : Roubieu Stéphane
OPAH : Benderradji Sabba
Ouest Provence :Gabanou Grégory, Jacquel Jean-Pierre
Préfecture : Coulomb Annie
Régie culturelle : Delli Carri Gilbert, Manivet Valérie

CE :
SG : Jacquel Jean-Pierre
Trésorier : Gabanou Grégory
SGA : D'ambrosio Roland, Benderradji Sabba, Marinoni Sébastien




Commentaire d'un adhérent

Bravo C....... , c'est l'expression qui m'est venue à l'esprit en lisant le Compte rendu. Nous sommes partis pour une décennie de pouvoir absolu!
Que ce soit dans notre syndicat comme dans d'autres endroits où le droit de vote est acheté avec des petits cadeaux, existe-t-il meilleur exemple que ce que l'on vient de voir (constater)?
La démocratie souffre du manque de contre-pouvoir. Le contre-pouvoir devrait être élevé au même niveau que le pouvoir. La démocratie aurait à y gagner!
Quant à R....., ce n'est certes pas lui, qui va équilibrer les plateaux de la balance!
Deux fois Ro...... dans la journée....ça pèse (je dis celà sans animosité, bien sûr!)
Bon dimanche.l...f.....

jeudi 8 octobre 2009

Hausse des impôts locaux/situation financière explosive de MPM :étude commandée par Gaudin en 2008

MPM : l'étude commandée par Gaudin qui annonçait une hausse des impôts
contributionsPublié le mardi 6 octobre 2009 à 19H13

Réalisé par un cabinet privé, ce document confidentiel décryptait la situation financière explosive de la communauté urbaine Marseille Provence Métropole.


Depuis plusieurs années, la communauté urbaine MPM est confrontée à une situation financière très difficile, particulièrement en raison d'un endettement élevé.

Illustration Domas http://domas.over-blog.com

En savoir plus
Vidéo - Un incinérateur sans augmenter les impôts ?
Lire aussi - MPM : l'incinérateur explique-t-il la hausse de la fiscalité ?
Lire aussi - Caselli : "Le coût de l'incinérateur rendait la hausse inévitable"
Adoptée la semaine dernière par la communauté urbaine Marseille Provence Métropole, la hausse de la taxe des ordures ménagères (TEOM) continue à faire des vagues. Pour Eugène Caselli, président PS élu en avril 2008, elle s'explique par la mise en service prochaine de l'incinérateur actuellement en cours de construction à Fos-sur-Mer, projet qui a été lancé par Jean-Claude Gaudin (UMP).

Un argument que rejette la droite avec virulence, comme l'ont montré les échanges lors du conseil communautaire de vendredi matin. "Vous expliquez l'augmentation des taux de la TEOM par l'augmentation des coûts d'exploitation de l'usine de traitement et plaidez l'héritage devant la presse, devait ainsi lancer Renaud Muselier. Vous omettez cependant de dire que si les coûts ont dérapé, c'est parce que vous avez perdu plus d'un an avant de signer les marchés aux entreprises. Vous avez cédé à vos amis politiques de l'époque. Les taux bancaires négociés à 0,325% sont passés à 1,7%. Plus 423% d'augmentation, c'est énorme" (1).

Même son de cloche de la part de l'élu marseillais Bruno Gilles, qui assure que l'incinérateur aurait pu fonctionner sans augmentation des impôts s'il n'avait pas été modifié : "Avec nous, il n'y aurait pas eu de surcoûts parce que nous n'aurions pas augmenté la part de la méthanisation au détriment de l'incinération".

Il est incontestable qu'en modifiant le projet, l'équipe Caselli a modifié la facture. Il n'empêche qu'une hausse de la fiscalité en lien avec la construction et la mise en service de l'incinérateur de Fos était d'ores et déjà envisagée dans les dernières heures de la présidence de Jean-Claude Gaudin, alors qu'il était programmé que Renaud Muselier devienne le président de MPM.

La preuve en est apportée par un rapport d'analyse financière qui a été remis en mars 2008 à Jean-Claude Gaudin et que LaProvence.com s'est procuré. Réalisée par le Cabinet Michel Klopfer, cette étude confidentielle montre que MPM ne disposait déjà d'aucune marge de manoeuvre et se trouvait dans l'obligation de réduire sans attendre ses investissements, sans pour autant échapper à une augmentation de la fiscalité.

Ainsi, le rapport Klopfler ne manque pas de souligner dans ses prévisions l'apparition "d'une nouvelle charge de fonctionnement, liée à la mise en place de l'incinérateur, d'un montant de 18 millions d'euros à compter de 2009, évoluant ensuite de 2% par an". Evoquant les perspectives entre 2008 et 2014, l'étude note que "l'épargne brute connaît une dégradation progressive pour disparaître entièrement en 2014". Un phénomène qui "trouve notamment son origine dans l'augmentation des charges de fonctionnement liées à l'incinérateur".

Afin de sortir tant que faire se faire se peut MPM de l'ornière, le rapport Klopfler dessinait début 2008 quatre scénarios, qui laissaient la part belle à une augmentation des impôts. L'un des plus raisonnables (!) prévoyait ainsi "une augmentation des taux "ménages" de 190% en 2009" couplée à "une augmentation du taux de taxe professionnelle en 2010 limitée à 21%".

Au cas où il n'aurait pas été souhaité toucher aux impôts sur les ménages et les entreprises, une piste conduisait directement vers la taxe sur les ordures ménagères (TEOM). "D'autres hypothèses de ventilation des recettes de fonctionnement supplémentaires nécessaires pourront être recherchées, lisait-on, notamment par une augmentation de la TEOM ou par des recettes tirées d'une éventuelle péréquation de taxe professionnelle sur le Port autonome...".

(1) La communauté urbaine dément une telle flambée des taux bancaires : "Des banques ont bien essayé de nous faire chanter mais nous restons jusqu'ici sur les taux qui avaient été négociés lorsque Jean-Claude Gaudin était à la tête de MPM".

Fred Guilledoux (fguilledoux@laprovence-presse.fr)

Majoration de 0,3% de la valeur du point au 01/10/09

Le décret portant majoration de 0,3 %, à compter du 1er octobre 2009, de la valeur du point d’indice a été présenté en Conseil des ministres du mercredi 30
septembre 2009. Cette revalorisation de la valeur du point d'indice intervientconformément aux mesures présentées le 3 juillet 2008 lors du rendez-vous
salarial. Cette mesure a été confirmée en juin 2009 par le ministre auxorganisations syndicales.


Pour mémoire, les mesures concernant la valeur du point n’avaient été approuvées par aucune des organisations syndicales représentatives.
Les mesures 2009 (+ 0,5 au 1er juillet et +0,3 au 1er octobre) avaient été annoncées dès 2008, alors que l’inflation dépassait allègrement les 3 %.
En 2008, l’augmentation de la valeur du point avait été la même qu’en 2009.
Et en 2010, la revalorisation déjà annoncée sera de 0,5 % au 1er juillet, mais
pourra être rediscutée lors du « rendez-vous » salarial du printemps

mercredi 7 octobre 2009

Appel de la CSI : journée mondiale pour un travail décent le 7 octobre 10h30 pl Général de Gaulle bas de la canebière

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http://www.wddw.org/-Francais-



La crise économique menace les emplois et le futur des personnes aux quatre coins du monde. Des décennies de déréglementation et l’avidité et les énormes bénéfices d’une petite minorité ont plongé le monde dans la plus grande récession depuis les années 1930. Le travail décent doit être au cœur des actions gouvernementales afin de relancer la croissance économique et de construire une nouvelle économie mondiale qui donne la priorité aux personnes. Joignez-vous à la Confédération syndicale internationale dans la campagne pour la relance et la réforme économiques à l’occasion de la Journée mondiale pour le travail décent, le 7 octobre 2009. Votre soutien est important ; vous avez l’occasion de vous joindre à des millions de participants dans le monde à une mobilisation commune pour le changement.




MERCREDI 7 OCTOBRE 2009

A 10H30

A LA PLACE DU GENERAL DE GAULLE

(BAS DE LA CANEBIERE – A COTE DU MANEGE LE CAROUSSEL)

13001 Marseille

lundi 5 octobre 2009

François CHEREQUE le 3 octobre 2009

Il y aura d'autres drames humains"
Le Journal du Dimanche publie sous ce titre une interview de François Chérèque dans son édition du 3 octobre.



La récession semble derrière nous, a indiqué l’Insee hier. Mais vous ne partagez pas cette bonne nouvelle…
Je suis consterné: la crise atteint son paroxysme pour les salariés mais plus personne n’en parle. C’est oublié ! On entend le gouvernement évoquer la reprise, se féliciter que le PIB recule moins que prévu et se réjouir des victoires mondiales dans la régulation du capitalisme… Le décalage avec la réalité est criant.

La réalité?
Je reviens d’un tour de France de trois jours, j’ai vu des entreprises qui tournent à mi-temps, des salariés dans un profond état de souffrance qui ne savent pas s’ils ont un avenir, qui voient leur travail sans cesse remis en cause. J’ai fait un meeting à Vélizy devant les locaux d’Alcatel-Lucent. Savez-vous que les cadres n’auront bientôt plus de bureau personnel? On leur attribue un numéro le matin, en fonction de leur heure d’arrivée. C’est une déshumanisation qui affecte profondément les gens.

Mais les prévisions sont meilleures…
Vraiment? Le chômage va continuer d’augmenter alors que Pôle emploi est dans une situation très inquiétante. Un agent s’occupe de 120 demandeurs d’emploi au mieux, et 200 au pire. Une fois indemnisés, les chômeurs ne sont pas reçus avant trois à cinq mois, des salariés en contrat de transition professionnelle sont mis en attente… C’est le choix déplorable de la direction, qui a introduit le langage et le management de la rentabilité financière du privé. Résultat, les agents perdent leurs repères et leur identité. Ils vont tout droit vers de graves difficultés humaines, avec le risque d’aboutir à la situation de France Télécom. Je tire la sonnette d’alarme !

Vous envisagez le pire?
Oui. Le chômage a fait passer la question des conditions de travail au second plan. Ce qui se passe à France Télécom est un symptôme d’un grave problème managérial qui gagne du terrain partout en France. Chez Pôle emploi, chez Alcatel et dans d’autres entreprises, je vois les mêmes signes avant-coureurs, y compris chez les cadres. Nous pouvons donc redouter que cela s’étende. Si rien ne change, il y aura d’autres drames humains, des accidents du travail et des maladies professionnelles. Mais j’ai aussi vu des entreprises et des sections CFDT, par exemple chez Comptoir des cotonniers ou Lohr industries, qui savent négocier et progresser. Comme quoi, c’est possible.

Comment y faire face? Le PDG de France Télécom doit-il démissionner selon vous?
Ce n’est pas le sujet, ce sont les méthodes de management qui sont en cause. Changer les dirigeants sans changer les méthodes ne servirait à rien. Il faut revoir la conception purement financière de la gestion. Par exemple, soumettre les revenus des PDG à des critères sociaux, environnementaux et à un indicateur du bien-être dans leur entreprise, plutôt qu’à leurs résultats en Bourse.

Vous organisez avec tous les syndicats (sauf FO) une nouvelle journée de mobilisation mercredi. Les précédentes n’ont pas connu un grand succès…
C’est différent. Il n’y aura pas de grand défilé mais des rassemblements de militants dans des lieux symboliques, par exemple à proximité du Medef à Paris. Le 7 octobre est la Journée mondiale pour un « travail décent ». Beaucoup d’entreprises font passer la rentabilité avant les conditions de travail. En Lorraine, j’ai découvert une société qui faisait à la fois du chômage partiel et des heures supplémentaires, encaissant les aides de l’Etat sur tous les plans. La CFDT l’a dénoncée à l’inspection du travail.

A La Poste, la fédération CFDT ne soutient pas la "votation" organisée par les autres syndicats. Etes-vous favorable au changement de statut de cette entreprise publique?
La fédération critique la rédaction de la question, qui n’est pas très rigoureuse car elle parle de privatisation alors qu’il s’agit d’un changement de statut. Toutefois, le projet de loi est dangereux et le discours du gouvernement n’est pas clair. Il dit garantir les missions de service public mais, sans garanties financières, il ne pose pas de barrière à des capitaux privés. Le risque est de mettre La Poste en déficit pour y faire entrer des investisseurs privés.

Vous l’avez dit à Nicolas Sarkozy?
Il m’a reçu jeudi soir pendant une heure, je lui ai parlé de tous ces sujets. Je l’ai trouvé plus attentif que lors de nos précédentes entrevues. Il ne peut ignorer la situation sociale du pays. J’ai également insisté sur l’injustice faite aux salariés victimes d’accidents du travail, dont les indemnités vont être soumises aux impôts. Pendant ce temps, les traders gagnent toujours beaucoup trop d’argent. On favorise la France des boursicoteurs et des rentiers contre celle qui se lève tôt pour aller travailler.

Qu’a-t-il répondu?
Que sur ce sujet, notre désaccord persiste !

Propos

Mobilisation unitaire du 7 octobre 2009 :rendez vous 10h30 place du général DE GAULLE

DECLARATION INTERSYNDICALE
CGT – CFDT – CGC – FSU –


Les six Unions Départementales se sont rencontrées dans le cadre de l’appel national pour la journée du 7 octobre.
Situées dans le cadre de la journée internationale pour le travail décent, les revendications liées au travail, tant dans le public que dans le privé (emplois, retraite, rémunération, conditions de travail, sécurité…) s’y exprimeront.

Elles ont eu un échange sur la situation économique et sociale dans les Bouches du Rhône.

Elles réaffirment que dans le contexte actuel, la démarche unitaire doit se poursuivre autour des propositions préconisées par la plateforme du 5 janvier afin d’aider les salariés à surmonter et contrer les retombées de la crise.

Les Unions Départementales apportent leur plein soutien aux mobilisations unitaires en cours, en particulier contre la privatisation de la poste : elles soutiennent sans réserve la journée unitaire de grève le 22 septembre ainsi que la consultation citoyenne du 28 septembre au 3 octobre.

L’existence d’un service public, de qualité, amélioré, assurant l’égalité des droits, implanté sur tout le territoire doit être garanti contrairement aux réformes de l’Etat en cours qui ont un effet inverse en réduisant les champs d’intervention de l’Etat et en multipliant les privatisations où, comme dans l’Education, les suppressions de postes qui dégradent les conditions d’enseignement et d’étude.

Le 16 octobre, une journée d’action unitaire rassemblera les retraités pour la défense du pouvoir d’achat et de la protection sociale. Ils seront également dans l’action le 7 octobre.

Les six Unions Départementales proposent que dans chaque entreprise, dans chaque service, dans l’unité la plus large, les salariés décident les initiatives appropriées pour se faire entendre.
Ils se retrouveront à 10 h 30 place du général de Gaulle à Marseille devant le siège de l’UPE, afin de se manifester jusqu’à la Préfecture.

Cette initiative sera clôturée par l’organisation « d’une table ronde pour l’emploi » en plein air au cours de laquelle les témoignages et interventions des secteurs industriels et publics auront lieu.



MERCREDI 7 OCTOBRE 2009
A 10H30
SUR LA PLACE GENERAL DE GAULLE
13001 Marseille