samedi 30 avril 2011

Le 15 mai, la CFDT lancera sa première enquête baromètre pour examiner le rapport des salariés au travail

Donner aux salariés le pouvoir
d’agir sur leur travail










Le 15 mai, la CFDT lancera 
sa première enquête baromètre
 pour examiner le rapport des 
salariés au travail. 
Une étape indispensable afin 
de connaître leurs attentes 
et d’y apporter des réponses.
Au cours des derniers mois, les initiatives 
menées par la CFDT ont largement donné à voir les attentes et
 les rancœurs
des salariés : attachés à l’idée qu’ils se font du travail,
 ils sont d’autant plus frustrés d’être dépossédés 
des moyens qui rendraient possible une pratique 
qu’ils jugent convenable. Pour une organisation 
syndicale, c’est là un levier d’action essentiel. 
« Il faut redonner du sens au travail et redécouvrir 
qu’au cœur de la performance des entreprises et 
des services publics, il y a des personnes. 
Dans cette perspective, il faut agir en faveur
 du bien-vivre au travail : reconnaissance,
 modes de management respectueux, meilleur équilibre
 entre les temps professionnel et personnel »,
 explique Patrick Pierron, secrétaire national de la CFDT.
La création 
d’un baromètre 
syndical de 
la qualité
 de vie 
au travail
 s’inscrit dans
 cette démarche. 
Pour la première fois,
 la CFDT lance 
une enquête
 annuelle destinée
 à mesurer 
les évolutions 
du travail et la manière 
dont elles influent sur
 le travail des salariés. 
Du 15 mai au 30 juin,les militants sont donc appelés, 
dans les entreprises et
les fonctions publiques, à faire connaître et à faire remplir
 un court questionnaire.
Les résultats, rendus publics dans le courant du mois de septembre
– le temps pour la Confédération d’analyser l’ensemble des données qui lui seront remontées par les équipes et par leur syndicat au début juillet –, donneront à voir la “situation zéro”. En l’occurrence, une sorte d’état des lieux qu’il faudra alors comparer et affiner au fil des ans, en fonction
des résultats des enquêtes ultérieures.

"Parallèlement à la légère baisse du chômage, il y a une grosse augmentation de la précarité"


François Chérèque par franceinter


François Chérèque par franceinter">chereque nous parle

AMELIORER LES DROITS DES SALARIES POUR LA CFDT, C’EST TOUS LES JOURS ! Le 1er mai à la télé, entre deux brins de muguet, on verra les défilés syndicaux. Il y aura les chiffres de la police et ceux des organisateurs. Personne ne sera d’accord. C’est un rituel, comme le muguet...


POUR LA CFDT, C’EST TOUS LES JOURS !


Le 1er mai à la télé, entre deux brins de muguet, on verra les défilés syndicaux. Il y aura les chiffres de la police et ceux des organisateurs. Personne ne sera d’accord. C’est un rituel, comme le muguet...

Mais ce que l’on ne verra pas, c’est ce que le syndicalisme apporte, et la CFDT en particulier, pour tous les salariés. Pourtant, c’est le plus important. Parce que combattre les inégalités, c’est une action concrète et volontariste de tous les jours.

Ces dernières semaines, la CFDT a signé quatre accords qui améliorent la situation des salariés en particulier des plus précaires. Ceux qui ont des petites retraites, ceux qui sont contractuels dans la fonction publique, ceux qui sont au chômage, ou encore des jeunes qui galèrent pour trouver du travail.

Ce que la CFDT a obtenu pour les retraités du secteur privé

 La possibilité de départ en retraite sans décote jusqu’en 2018 : les salariés qui partiront en retraite après une carrière complète ou une carrière longue au cours des sept prochaines années ont l’assurance de ne pas voir leur pension complémentaire baisser.

• La réduction des inégalités liées aux droits familiaux : les majorations de pension bénéficieront davantage aux retraités les plus modestes, principalement les mères de famille. Plus de 90% des parents d’au moins trois enfants bénéficieront aussi d’une amélioration de leur pension.

• La sécurisation des retraites complémentaires : les ressources globales des régimes sont préservées.

Ce que la CFDT a obtenu pour les demandeurs d’emploi

• Le maintien des règles fixées en 2009 : c’est-à-dire l’accès à l’indemnisation à tout demandeur d’emploi ayant cotisé quatre mois au cours des vingt-huit derniers mois et le principe d’un jour indemnisé pour un jour travaillé.

• Le maintien du niveau actuel des cotisations salariales et patronales : le patronat a renoncé à une baisse immédiate des cotisations chômage, qui aurait vraisemblablement entraîné la baisse des indemnités vu le fort endettement du régime d’assurance chômage.

• La possibilité de cumuler allocation chômage et pension d’invalidité.

• La reconnaissance des travailleurs saisonniers au chômage au même titre que les autres demandeurs d’emploi : en supprimant le cœfficient réducteur jusqu’alors appliqué à l’allocation chômage des seuls travailleurs saisonniers, ces derniers seront désormais indemnisés comme les autres demandeurs d’emploi.

Ce que la CFDT a obtenu pour les jeunes

• Un accompagnement renforcé dans leur recherche d’emploi pour les jeunes qui en ont le plus besoin : 65 000 jeunes en bénéficieront en 2011.

• L’assouplissement des conditions d’accès au congé individuel de formation pour les moins de 26 ans en CDD.

• Une préparation opérationnelle à l’emploi pour 30 000 jeunes de moins de 30 ans.

• Des mesures contre l’illettrisme dont 20 000 jeunes bénéficieront.

Ce que la CFDT a obtenu pour les contractuels des fonctions publiques

 L’élargissement du dispositif de titularisation aux agents contractuels ayant quatre années d’ancienneté (dont deux ans au minimum à compter du 31 mars 2011).

• La construction de garanties collectives en matière de rémunération, de droits sociaux et de formation.

Le 1er mai, c’est la fête du travail. C’est vrai, le travail n’est pas toujours à la fête, surtout depuis la crise. Oui, la situation sociale est difficile. Mais nous ne sommes pas résignés. Nous pouvons changer les choses.

La CFDT revendique, la CFDT s’oppose aux inégalités, la CFDT obtient des résultats concrets avec les salariés et pour les salariés.

jeudi 28 avril 2011

CAP du 3 mai 2011 à MPM/ Catégorie B ,technicien territorial : rappel des nouvelles règles

Catégorie B (nouveau)

Le décret n° 2010-329 du 22 mars 2010 portant dispositions statutaires communes à divers cadres d'emplois de fonctionnaires de la catégorie B de la fonction publique territoriale précise, dans son article 25, les conditions d'avancement de grade des fonctionnaires appartenant aux cadres d'emplois de catégorie B inscrits en annexe de ce décret conformément à l'article 1er.

Actuellement, seuls les cadres d'emplois des techniciens territoriaux et des chefs de service de police municipale sont inscrits dans cette annexe.

Les conditions d'avancement sont précisées à la page 5 pour les techniciens territoriaux et à la page 18 pour les chefs de service de police municipale de l'annexe 1 de la présente circulaire. Le décret prévoit que les deux voies d'accès (examen professionnel et au choix) sont liées et doivent être obligatoirement utilisées. Le nombre de nominations par la voie de l'examen professionnel ou par celle du choix ne peut être inférieur au quart du nombre total des nominations (minimum ¼ et maximum ¾ pour chacune des voies). Le seuil de nominations s'apparente à un quota.

 

Exemple :

1°) une collectivité souhaite prononcer deux avancements dans le même grade : 1 seule possibilité.
- 1 nomination par la voie de l'examen professionnel
- 1 nomination par la voie du choix

 

2°) une collectivité souhaite prononcer trois avancements dans le même grade : 2 possibilités.
- 1 nomination par la voie du choix
- 2 nominations par la voie de l'examen professionnel

OU
- 2 nominations par la voie du choix
- 1 nomination par la voie de l'examen professionnel


3°) une collectivité souhaite prononcer quatre avancements dans le même grade : 3 possibilités.

- 2 nominations par la voie du choix
- 2 nominations par la voie de l'examen professionnel

OU
- 1 nomination par la voie du choix
- 3 nominations par la voie de l'examen professionnel

OU

- 3 nominations par la voie du choix
- 1 nomination par la voie de l'examen profession

5/9 Dérogation :
Lorsqu'un seul avancement est prononcé au titre d'une année les dispositions précédentes ne s'appliquent pas.
Toutefois dans les trois années qui suivent cette nomination la promotion suivante se fera obligatoirement par l'autre voie d'accès.
Si aucune nomination par l'autre voie n'a pu être prononcée au cours de cette période, une nomination par la même voie d'accès que celle prononcée l'année N sera possible dès l'année N + 4.
Exemple : Pour l'année N, une seule promotion est envisagée et est prononcée par la voie du choix.
Pour l'année N + 1, la promotion sera obligatoirement prononcée par la voie de l'examen professionnel.
Si le seuil de nomination entre les deux voies a ainsi été respecté, l'année N + 2 la collectivité aura de nouveau le choix entre la règle de base ou la dérogation.
Si en revanche au cours des années N + 1, N + 2 et N + 3, aucune nomination n'a été possible par la voie de l'examen professionnel, la collectivité ne pourra de nouveau prononcer un avancement au choix qu'à compter de l'année N + 4.




mercredi 27 avril 2011

HOLLANDE A DIT:

Ce que nous dit HOLLANDE

Un repli "comme dans les années 1930"

Un repli "comme dans les années 1930"
CFDT le 26 avril 2011
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Interviewé dans le Journal du Dimanche du 23 avril 2011, François Chérèque invoque "les promesses non tenues" du gouvernement. Il lance une mise en garde contre la tentation de l’extrême droite, tout en invitant à "ne pas céder à la panique".
L’audience du FN atteint des sommets chez les ouvriers. Que se passe-t-il?
Il faut y voir une perte de confiance dans la politique. C’est le résultat de promesses sociales qui n’ont pas été tenues, sur le pouvoir d’achat, le "travailler plus" ou sur l’industrie. Il y a une déception et une remise en cause de la parole politique qui poussent vers les réponses démagogiques. Ce n’est pas fini. La prime de 1 000 euros annoncée par le gouvernement va renforcer la défiance car seule une minorité de personnes pourront la toucher.
Ce serait la faute de Nicolas Sarkozy?
Le phénomène n’est pas récent. Certains électeurs veulent sanctionner le pouvoir et vont chercher ceux qui n’ont pas encore gagné. Cette tendance a été accentuée par la gouvernance depuis quatre ans et le sentiment que les plus aisés n’ont pas fourni les mêmes efforts que les autres pendant la crise.
Vous entendez des propos d’extrême droite dans les entreprises?
Nous le constatons, il y a des expressions de rejet des autres, de racisme. Y compris dans la fonction publique, où certains n’hésitent pas à dire: "En cas de second tour Sarkozy-Le Pen, on ne votera pas Sarkozy!" On n’entendait pas cela avant.
Quand Marine Le Pen évoque la désindustrialisation, elle parle directement aux ouvriers…
L’extrême droite a toujours utilisé des situations réelles mais donne des mauvaises réponses. Ce qui se passe en France s’est déjà produit après la crise de 1929. Il y a eu le même type de réactions. On voit où cela a mené. Sans aller jusqu’à de telles extrémités, nous constatons que la tendance au repli existe en France et en Europe comme dans les années 1930.
Comment répondent les syndicats?
Cette situation nous place face à nos responsabilités. Il faut valoriser ce que nous signons. Récemment, quatre accords importants ont augmenté les retraites complémentaires pour les familles nombreuses, conforté notre système d’assurance-chômage qui est le meilleur d’Europe, amélioré le sort des précaires dans la fonction publique et l’accompagnement des jeunes sans emploi.
Et dans les entreprises?
Nous disons aux salariés concernés qu’ils font une erreur d’analyse, que les propositions de Marine Le Pen sont creuses. Pis, qu’elles se retourneraient contre les ouvriers ou sont irréalistes, que ce sont de fausses pistes. Nous allons actualiser notre analyse du programme du FN et continuer cette pédagogie. Mais attention à la dramatisation. Il ne faut pas céder à la panique.
On a vu des syndiqués sur des listes FN…
Quelques cas ne font pas une généralité. à la CFDT, nous en avons eu un en Moselle, une procédure d’exclusion a été engagée. On ne peut pas défendre la préférence nationale à une élection et revendiquer une appartenance CFDT, c’est incompatible. Attention cependant à ne pas surévaluer un phénomène très marginal! J’ajoute que les démarches d’entrisme de l’extrême droite ont toujours existé depuis la fin du XIXe siècle. Le syndicalisme a toujours lutté efficacement contre.

mardi 26 avril 2011

De l'art de savoir compter jusqu'à 16(*) ......!



Marseille manque de WC publics

25 contributions
Publié le mardi 26 avril 2011 à 16H56
Dix sanisettes (*)ne suffisent pas à couvrir les besoins des Marseillais et des touristes. Quelles solutions ?
L'afflux de visiteurs a poussé à implanter ces sanisettes devant le plus ancien palais gothique d'Europe. Une bonne idée sur le papier sauf que les odeurs, elles, étaient bien présentes
Plus fréquentées qu'on ne pourrait le croire, les sanisettes Decaux coûtent très cher à MPM, qui n'envisage pas d'étendre le marché actuel et cherche d'autres solutions.
Photo J.-M.D.M.
Du carnaval de Rio, on connaît les lumières du sambodrome, les chars étincelants, les fêtes jusqu'au bout de la nuit. Mais jamais on ne parle de la face cachée, un peu honteuse, de cet immense rassemblement populaire. Chaque année, lorsque des millions de Cariocas, de touristes envahissent les rues, la ville se transforme… en pissotière à ciel ouvert. Faute de wc publics, en nombre suffisant, même les plages de Copacabana deviennent infréquentables. Jusqu'à 600 personnes verbalisées le même soir en flagrant délit de miction sur la voie publique ! Or, en la matière, Marseille est encore plus mal lotie que Rio.
La ville compte en tout et pour tout dix sanisettes Decaux (contre plus de 40 à Paris), installées depuis 2009. Chaque jour, environ 16 personnes(**) font une halte dans l'un de ces petits coins qui sont loin de satisfaire la demande des Marseillais. Alors imaginez un peu en 2013, lorsque des hordes de touristes viendront s'abreuver de culture dans la cité phocéenne !
Faut-il multiplier les sanisettes ? "Ces équipements coûtent très cher : 29 000€ (pièce) à l'année pour la location et le nettoyage" explique Jean-Marc Mertz, inspecteur général à MPM. Ce qui d'après nos calculs, coûte plus de 3,9 € le passage à la communauté urbaine ! Laquelle n'envisage donc pas d'étendre ce marché (qui court jusqu'en 2019). Pour Martine Vassal adjointe au maire (UMP) à la propreté, "la meilleure formule, ce serait d'installer de vraies toilettes publiques, gardées par une dame-pipi".
Mais là encore, les coûts de fonctionnement sont très élevés. L'élue réfléchit donc à des solutions palliatives, comme "augmenter la capacité et le nettoyage des toilettes installées dans les jardins publics". Autre option envisagée : des sanitaires mobiles, type Algeco, déjà utilisées sur certaines manifestations comme l'Open 13. "Là encore, cela coûte très cher, mais l'avantage, c'est qu'on peut les déplacer".
De la "dame pipi" au modèle espagnol
À gauche aussi, on ne manque pas d'idées sur la question. "Les sanisettes Decaux, ça marche, mais c'est totalement insuffisant. Prenez le marché de la Plaine ou celui du Prado : où ils vont pisser les exposants ?", interroge Patrick Mennucci, le maire (PS) des 1-7e arr. Outre les odeurs aigrelettes qui envahissent les parkings et les trottoirs du centre-ville, cette carence aurait des conséquences économiques : "Certaines personnes ne vont plus faire leurs courses en centre-ville parce qu'il n'y a pas de pipi-room ! ".
Aussi, l'élu propose de s'inspirer du "modèle espagnol" : confier à des commerçants la gestion d'urinoirs publics. Moyennant quoi, ils seraient exonérés des taxes municipales d'emplacement. "Et pourquoi pas accorder des licences à une nouvelle forme de commerce qui créerait des emplois ?", avance Patrick Mennucci. Qui ne croit pas si bien dire : la société parisienne spécialisée PointWC est déjà sur les rangs. Toutes ces réflexions sont en cours à la communauté urbaine, qui "cherche un accord avec la Ville pour trouver des solutions d'ici 2013". Droite et gauche unies pour faire face aux besoins des Marseillais : un bel exemple de gouvernance partagée…
(*) en réalité il y en a 16 , mais ne chipotons pas....., cela ne change pas le problème .
(**) donc une sanisette par personne et par jour ...euh....?

Actualité 2010 et 2011 du CSFPT sur les réformes de la FPT en cours

F.P.T : quels sont les textes RH en attente de publication ?

Réforme de la catégorie B :
Ä filière animation – nouveau cadre d’emplois des animateurs territoriaux
C.S.F.P.T. du 29/09/2010 : avis favorable
Ä filière sécurité : nouveau cadre d’emplois des chefs de service de police municipale
C.S.F.P.T. du 29/09/2010 : avis favorable
Ä filière technique : Régime indemnitaire des nouveaux techniciens territoriaux
C.S.F.P.T. du 29/09/2010 : avis défavorable
Ä filière technique – modifications de certaines dispositions du statut particulier des techniciens territoriaux C.S.F.P.T. du 02/02/2011 : avis favorable
Ä filière sportive – nouveau cadre d’emplois des éducateurs des A.P.S.
C.S.F.P.T. du 02/02/2011 : avis favorable
Ä filière sociale – modifications des statuts particuliers des assistants socio-éducatifs et des éducateurs de jeunes enfants
C.S.F.P.T. du 16/03/2011 : avis reporté
Ø Création du nouveau statut particulier des conseillers socio-éducatifs
Ce projet revalorise ce cadre d'emplois du fait du projet de réforme de deux cadres d'emplois du secteur social de la catégorie B (assistants socio-éducatifs et éducateurs de jeunes enfants).
- restructuration en deux grades
- nouvel échelonnement indiciaire
- concours externe sur titres avec épreuves (remplace le concours interne)
- modification des conditions de promotion interne des conseillers socio-éducatifs dans le cadre d'emplois des attachés territoriaux.
C.S.F.P.T. du 16/03/2011 : avis reporté
Ø Positions administratives (suite de la loi « mobilité »)
Les nouvelles modalités introduites par la loi relative à la mobilité et aux parcours professionnels dans la F.P. impactent diverses dispositions réglementaires contenues notamment dans le décret n°86-68 du 13/01/86 modifié qu’il convient de mettre à jour.
C.S.F.P.T. du 03/02/2010 : avis favorable
Ø Office public de l’habitat
Ce projet de décret porte sur le volet ressources humaines de ces établissements publics locaux à caractère industriel et commercial. Il a pour objet d’organiser la coexistence de deux catégories de personnels, privés ou publics.
C.S.F.P.T. du 22/12/2010 : avis défavorable


Ø Rénovation du dialogue social
Ä Transformation des C.T.P. en comité technique (C.T.) et nouvelles règles de fonctionnement (les avis sont émis à la majorité des représentants du personnel présents ayant voix délibérative. Toutefois, si une délibération a prévu que l’avis des employeurs publics territoriaux est également recueilli, chacun des deux collèges émet son avis à la majorité de ses membres présents ayant voix délibérative).
Ä Nouvelles dispositions concernant les instances paritaires (C.T. et C.A.P.) :durée du mandat, date de renouvellement général, élection à un seul tour,…
C.S.F.P.T. du 16/03/2011 : avis défavorable
Ä Les C.H.S.C.T. (améliorer la prévention des risques professionnels, création dans les mêmes conditions que les comités techniques => 50 agents).
C.S.F.P.T. du 16/03/2011 : avis favorable
Ø Santé et sécurité au travail dans la fonction publique
Fin 2009un accord sur la santé au travail a été signé entre les partenaires sociaux. Il permet d’acter un certain nombre de grandes orientations visant à rapprocher l’encadrement de la santé et de la sécurité au travail dans la fonction publique et celui du secteur privé.
L'employeur public doit prendre les mesures nécessaires pour la protection de la sécurité et de la santé des travailleurs, y compris par des activités de prévention des risques professionnels, d'information et de formation, ainsi que la mise en place d'une organisation et des moyens nécessaires, conformément à la directive 89/391/CEE du Conseil de l’Union européenne.
Pour suivre l’évolution de la publication des textes législatifs et réglementaires, nous vous proposons un tableau synthétique de cet accord : cliquez ici.
Ø Protection sociale complémentaire
Ce projet de décret précise les modalités de participation des employeurs aux règlements ou contrats de complémentaires santé et prévoyance souscrits par leurs agents.
C.S.F.P.T. du 22/12/2010 : avis favorable
Vous pouvez consulter les projets de textes présentés au C.S.F.P.T. en cliquant ici.