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Mesures d'urgences :
Contrat d'avenir (aide selon importance entreprise +- 300) , chômage partiel (10 fois plus utilisé en Allemagne qu'en France ), exonérations fiscales (Fillon): conditionnalité des aides!
Sur le coût du travail , utilisation de la CSG (+10%)qui préserve l pouvoir d'achat des salariés (7% ) et augmente la taxation du capital et autres revenus non salariaux (3%) :
commentaires :
"Chérèque CFDT : leçon d’économie à FO et à la CGT
Les syndicats en général ne comprennent pas grand-chose à l’économie d’où l’incapacité de favoriser un vrai débat de modernisation économique et sociale dans le pays et l’écroulement de la compétitivité française. Bilan sur la période très récente 2009-2011 : 100 000 emplois industriels délocalisés pour 400 relocalisés ! La faute aux gouvernements qui préfèrent légiférer au lieu de laisser les partenaires négocier, la faute au patronat qui ne veut pas qu’on empiète sur ses prérogatives, la faute enfin aux syndicats très majoritairement dirigés par des fonctionnaires et assimilés qui n’ont qu’une vue très approximative des réalités économiques. Pourtant la CFDT est un des rares syndicats qui essaye de faire preuve de réalisme et de pertinence ; Très récemment sur le coût du travail ; Tollé aussitôt de la CGT et de FO. Le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque, a défendu mercredi sa position sur le coût du travail dans une réponse directe aux « petites gentillesses entre amis » lancées par les chefs de file de la CGT et de FO qui, selon lui, « déforment » sa proposition. « J’ai dit que la compétitivité française c’est d’abord un problème de recherche et développement, ensuite de qualification des salariés, c’est un problème de filière professionnelle, et le coût du travail est l’un des problèmes mais pas le seul », a déclaré M. Chérèque sur France Inter. « Moins le coût du travail est élevé, plus vous êtes compétitif », a-t-il ajouté, indiquant que l’objectif de la CFDT « n’est pas de baisser les salaires, mais de faire en sorte que le financement de l’assurance maladie et des politiques familiales ne soit plus uniquement supporté par le travail mais aussi par les revenus du capital et du patrimoine ». M. Chérèque s’est défendu d’être sur la même ligne que le Medef, comme l’en a accusé Bernard Thibault (CGT). Quant à Jean-Claude Mailly (FO) qui l’a taxé de « social libéral », M. Chérèque lui a répondu que « c’est lui qui défend le capital ». Thibault comme Mailly « déforment ma proposition », a estimé M. Chérèque. »C’est un transfert d’une partie de ce qui est supporté par le travail sur les revenus du capital et sur les revenus du patrimoine, c’est plus juste socialement car ce n’est pas que le travail qui finance, en plus ça allège les entreprises par rapport à l’emploi », a expliqué le dirigeant syndical."
Sur le coût du travail , utilisation de la CSG (+10%)qui préserve l pouvoir d'achat des salariés (7% ) et augmente la taxation du capital et autres revenus non salariaux (3%) :
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"Chérèque CFDT : leçon d’économie à FO et à la CGT
Les syndicats en général ne comprennent pas grand-chose à l’économie d’où l’incapacité de favoriser un vrai débat de modernisation économique et sociale dans le pays et l’écroulement de la compétitivité française. Bilan sur la période très récente 2009-2011 : 100 000 emplois industriels délocalisés pour 400 relocalisés ! La faute aux gouvernements qui préfèrent légiférer au lieu de laisser les partenaires négocier, la faute au patronat qui ne veut pas qu’on empiète sur ses prérogatives, la faute enfin aux syndicats très majoritairement dirigés par des fonctionnaires et assimilés qui n’ont qu’une vue très approximative des réalités économiques. Pourtant la CFDT est un des rares syndicats qui essaye de faire preuve de réalisme et de pertinence ; Très récemment sur le coût du travail ; Tollé aussitôt de la CGT et de FO. Le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque, a défendu mercredi sa position sur le coût du travail dans une réponse directe aux « petites gentillesses entre amis » lancées par les chefs de file de la CGT et de FO qui, selon lui, « déforment » sa proposition. « J’ai dit que la compétitivité française c’est d’abord un problème de recherche et développement, ensuite de qualification des salariés, c’est un problème de filière professionnelle, et le coût du travail est l’un des problèmes mais pas le seul », a déclaré M. Chérèque sur France Inter. « Moins le coût du travail est élevé, plus vous êtes compétitif », a-t-il ajouté, indiquant que l’objectif de la CFDT « n’est pas de baisser les salaires, mais de faire en sorte que le financement de l’assurance maladie et des politiques familiales ne soit plus uniquement supporté par le travail mais aussi par les revenus du capital et du patrimoine ». M. Chérèque s’est défendu d’être sur la même ligne que le Medef, comme l’en a accusé Bernard Thibault (CGT). Quant à Jean-Claude Mailly (FO) qui l’a taxé de « social libéral », M. Chérèque lui a répondu que « c’est lui qui défend le capital ». Thibault comme Mailly « déforment ma proposition », a estimé M. Chérèque. »C’est un transfert d’une partie de ce qui est supporté par le travail sur les revenus du capital et sur les revenus du patrimoine, c’est plus juste socialement car ce n’est pas que le travail qui finance, en plus ça allège les entreprises par rapport à l’emploi », a expliqué le dirigeant syndical."
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