jeudi 30 juin 2011

La CFDT se réjouit de la libération d'Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier

Solidarité, émancipation, démocratie, indépendance, autonomie ! Ces cinq valeurs placent l’homme au centre de l’action de la CFDT et en font un acteur de ses choix de vie, pour construire un monde plus équitable et durable.


Les deux journalistes Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, adhérents CFDT, l’ont bien compris. De par leur profession et leur engagement syndical, ils ont fait un choix de vie pour l’information de tous.Aujourd'hui libérés et arrivés à Villacoublais , n'oublions pas ceux qui sont encore otages dans le monde ! Continuons la mobilisation pour la libération de tous les otages !

 

Au nom des Droits de l’Homme et de la Liberté, nous souhaitons affirmer notre détermination à ce que le sort de ces journalistes , ainsi que celui de de tous les otages dans le monde ne soit pas oublié et que les mobilisations se poursuivent. La liberté d’expression et de la liberté la presse ne doivent jamais reculer ! Depuis le début de l’année 2010 dans le monde, 15 journalistes ont été tués et 172 emprisonnés, sans oublier les autres otages français détenus dans divers pays.

 

rappel:

François Chérèque demande, au nom de la CFDT, la libération des deux journalistes de France 3 et de leurs trois accompagnateurs




François Chérèque demande, au nom de la CFDT, la libération des deux journalistes de France 3 et de leurs trois accompagnateurs, enlevés il y a déjà un an en Afghanistan.
Tout comme cela avait était le cas lors du congrès confédéral de Tours, la CFDT réitère son soutien à Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, par ailleurs adhérent CFDT, ainsi qu’à leurs trois accompagnateurs enlevés en Afghanistan, il y a déjà un an. A l’occasion de ce triste anniversaire, François Chérèque, au nom de la CFDT, demande « la libération de ces otages détenus pour avoir exercé leur métier d’informer ».


Et le secrétaire général de la CFDT d’ajouter : « Tant que cette libération ne sera pas obtenue, elle continuera comme elle le fait depuis plusieurs mois en signe de soutien, d’apposer sur la façade du siège de la Confédération, le portrait des deux journalistes »

François Chérèque insiste également sur le fait que « la CFDT n’oublie pas les autres otages français retenus actuellement dans le monde et en particulier les salariés d’Areva enlevés depuis plus de trois mois au Niger ».

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Moi je ne m'en réjouis pas, et voici pourquoi : Par Yves Debay, journaliste et correspondant de guerre : http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/files/Par%20Yves%20Debay.pdf