vendredi 21 mai 2010

Souffrance au travail à la Communauté urbaine MPM

Le « mal être » en entreprise, n'est pas réservé qu'aux grands groupes industriels ou de Services.
Certains de leurs collaborateurs, hélas, se sont ôté la vie.
Comme si ces grandes et grosses structures étaient des « armes par destination ».

Ceci est très grave, et le fait qu'il ne reste plus rien de cette solidarité qui était le ciment de classe, nous empêche de regarder l'avenir avec sérénité.

Même dans des secteurs protégés, figurez-vous, comme la Fonction Publique Territoriale, le harcèlement moral fait des ravages.

Aussi, nous avons quelques exemples patents à révéler.
Grâce à nos encouragements, à notre volonté de faire avec nos amis face à cette adversité, nous avons réussi à sortir deux d'entre eux du collimateur écrasant d'une hiérarchie inconsciente, nous le supposons, du mal qu'elle faisait.
Il reste encore trois jeunes hommes, dans la force de l'age, qui, chaque jour, dépriment un peu plus.
Notre belle Administration est informée de leur état pathologique, notre Administration s'est dotée d'un Service d'Assistance Sociale, et notre Administration ne fait rien pour connaître leur état de santé. Nous souhaitons rencontrer notre Président, avec ses conseillers, si nécessaires, et voulons exposer ces premiers cas qui nous touchent parce que nous partageons, ou partagions leur quotidien.
Celle que l'on a aidé : Régine ETIENNE,
Celui qui a échappé : Olivier FOURNES
Ceux qui doivent, selon nous, être
pris en considération : Patrick SIMON
: Farid BOUALAM
: Bruno NIGOND*
*Le cas de Bruno est particulier, son cas n'est pas dû à son travail, mais le fait qu'il se retrouve seul, heureusement avec des parents aimants, met l'accent sur le non-suivi, par l'Administration, du sort des Agents.
Bruno s'est retrouvé entre la vie et la mort après avoir été percuté par un automobiliste ayant franchi un feu rouge. Il est toujours hospitalisé à Marseille. S'il s'en remet, ce sera merveilleux.

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