Le projet de métropole marseillaise défendu par le
gouvernement, mais qui se heurte à de nombreuses résistances locales, "est à
portée de mains", a assuré samedi 12 janvier 2013 à Marseille le Premier
ministre, Jean-Marc Ayrault, en invitant les élus à surmonter leurs
"clivages".
“Je crois que c’est à portée de mains, que nous pouvons donner à Marseille,
Marseille-Provence, tout son rayonnement et donner vie à tous les projets”, a
lancé Jean-Marc Ayrault, venu dans la capitale phocéenne pour le
lancement de Marseille Provence 2013, capitale européenne de la culture.
Ce projet de métropole répond à une “grande ambition qui doit transcender les appréhensions, qui doit surmonter les clivages et les débats”, a-t-il ajouté.
“Ces appréhensions, ces clivages, ces points de vue (autour du projet), il y en a et c’est normal. Il ne faut pas en avoir peur”, selon le chef du gouvernement.
“Portons ensemble, a-t-il lancé, un projet métropolitain respectueux de la spécificité, de l’identité et de la parole de chacun.”
Certes, a-t-il remarqué, il appartiendra aux “élus” de décider dans “l’esprit de l’intérêt général”, mais le gouvernement “prendra en tout cas ses décisions et ses responsabilités”.
Exprimer pleinement le potentiel - “Marseille et son agglomération possèdent un formidable potentiel de développement. Dans tous les domaines”, a-t-il plaidé.
“Et ce potentiel, a poursuivi le Premier ministre, ne peut s’exprimer pleinement que si les initiatives sont coordonnées, si les ressources sont rassemblées, si les acteurs sont réunis autour de projets qui fédèrent toutes les intelligences et toutes les initiatives”.
Le projet de métropole se heurte à l’opposition farouche des intercommunalités voisines de la deuxième ville de France. Au coeur de la discorde, les deniers et la crainte que la création de cette métropole ne se résume à faire combler le déficit financier de Marseille par les territoires voisins.
Ce projet de métropole répond à une “grande ambition qui doit transcender les appréhensions, qui doit surmonter les clivages et les débats”, a-t-il ajouté.
“Ces appréhensions, ces clivages, ces points de vue (autour du projet), il y en a et c’est normal. Il ne faut pas en avoir peur”, selon le chef du gouvernement.
“Portons ensemble, a-t-il lancé, un projet métropolitain respectueux de la spécificité, de l’identité et de la parole de chacun.”
Certes, a-t-il remarqué, il appartiendra aux “élus” de décider dans “l’esprit de l’intérêt général”, mais le gouvernement “prendra en tout cas ses décisions et ses responsabilités”.
Exprimer pleinement le potentiel - “Marseille et son agglomération possèdent un formidable potentiel de développement. Dans tous les domaines”, a-t-il plaidé.
“Et ce potentiel, a poursuivi le Premier ministre, ne peut s’exprimer pleinement que si les initiatives sont coordonnées, si les ressources sont rassemblées, si les acteurs sont réunis autour de projets qui fédèrent toutes les intelligences et toutes les initiatives”.
Le projet de métropole se heurte à l’opposition farouche des intercommunalités voisines de la deuxième ville de France. Au coeur de la discorde, les deniers et la crainte que la création de cette métropole ne se résume à faire combler le déficit financier de Marseille par les territoires voisins.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire