AVRIL 2009
RELANCE SOCIALE ET SOLIDARITE INTERNATIONALE: FAIRE ENTENDRE NOTRE VOIX
La crise est là et elle frappe durement tous les salariés et particulièrement les jeunes en France, en Europe et dans le monde entier.
Les réponses des gouvernements et des entreprises ne sont pas à la hauteur des enjeux :
• Même si le dernier sommet du G20 a ouvert des pistes intéressantes pour faire face à la crise, elles doivent maintenant se traduire en mesures concrètes.
• L’absence de politique réellement coordonnée au niveau européen est un handicap qui pèse lourdement sur la situation économique de notre continent.
• La réponse française n’est pas à la hauteur des difficultés que traverse notre pays.
• Pas plus qu’elle n’est à la hauteur des enjeux et des exigences des salariés, que ce soit en termes d’emploi dans les secteurs public et privé, ou de justice sociale.
• Trop d’entreprises continuent à avoir des comportements inadmissibles et profitent de la crise pour procéder à des restructurations en utilisant l’emploi comme variable d’ajustement.
Dans ce contexte, la CFDT agit et obtient des résultats :
Par ses propositions et son action, la CFDT a permis :
• la création du Fonds d’investissement social (Fiso) pour améliorer immédiatement la situation des salariés les plus touchés et mieux préparer leur avenir par des formations qualifiantes,
• la prime de 500 euros pour les 100 000 demandeurs d’emploi justifiant entre deux et quatre mois de travail et la suppression des deux tiers de l’impôt sur le revenu touchant six millions de foyers fiscaux,
• l’amélioration de la prise en charge du chômage partiel notamment pour les salariés à temps partiel.
Ces premiers résultats viennent compléter les avancées obtenues avec les accords « modernisation du marché du travail », « gestion prévisionnelle des emplois et des compétences », « formation professionnelle », « indemnisation du chômage » et « chômage partiel » signés par la CFDT.
Dans ce contexte, la CFDT agit et obtient des résultats :
• pour le renforcement des compétences par la formation et le maintien du maximum de salariés dans l’entreprise grâce au Fonds d’investissement social ;
• pour le gel des suppressions de postes dans la fonction publique ;
• pour des mesures spécifiques en faveur des jeunes ;
• pour la suspension du bouclier fiscal et la défiscalisation des heures supplémentaires.
Un 1er mai de solidarité internationale et de mobilisation :
Le 1er mai est plus que jamais l’occasion d’exprimer notre solidarité envers les salariés des pays les plus défavorisés. Car ils subissent de plein fouet les conséquences de la crise que ce soit en termes d’emploi, de conditions de vie et de respect des droits fondamentaux.
Après le 29 janvier et le 19 mars, ce 1er mai 2009 revêt un caractère exceptionnel et nécessite la mobilisation de tous, pour faire entendre notre voix.
Avec la CFDT,
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LE 1ier mai 2009
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CFDT Aix Marseille Provence Metropole CFDT Ampm 0632875359 "Les hommes et les femmes qui nous rejoignent sont des esprits libres, animés de convictions et porteurs de projets". Adhérez en ligne : https://www.cfdt.fr/portail/adhesion/adherez-en-ligne/vos-informations-jca_221327
lundi 20 avril 2009
vendredi 10 avril 2009
Réforme de la catégorie B - Les propositions du gouvernement inacceptables
Réforme de la catégorie B - Les propositions du gouvernement inacceptables.
André Santini a présenté aux signataires des accords de février 2008 sa dernière proposition de réforme de la catégorie B avant de la présenter à l'ensemble des OS. Franchement, est-ce que ça vaut encore la peine de négocier ?
Les propositions de réforme du B
La réunion conclusive du comité de suivi du 15 décembre 2008 s’était soldée par un constat d’échec de la négociation sur la réforme de la catégorie B. En effet, le gouvernement maintenait sa volonté de rallonger les carrières tout en n’augmentant pas significativement les indices du sommet de grade. Par ailleurs en ne maintenant que dix points d’écart entre le recrutement à niveau bac et le recrutement à bac+2, il ne marquait pas suffisamment la distinction entre ces deux niveaux.
L’UFFA CFDT avait adressé un courrier au ministre le 16 décembre 2008 pour lui indiquer les éléments conditionnant notre engagement.
Nous ne pouvions être plus clairs :
- Un indice brut terminal porté à 701 à terme et accessible à tous
- Une durée de carrière au maximum de 32 ans à terme
- Une différenciation suffisamment marquée entre le 1er et le 2ème grade pour valoriser le recrutement à Bac +2
Ensuite, silence. Depuis trois mois et demi, aucune nouvelle du gouvernement jusqu’à cette nouvelle réunion conclusive du 30 mars 2009. Nous pouvions attendre et espérions compte tenu du délai exceptionnellement long, que le gouvernement aurait eu le temps de murir sa décision et de racler les fonds de tiroir pour trouver les ingrédients nécessaires pour une conclusion positive.
Hélas, cent fois hélas, le secrétaire d’état à la fonction publique Monsieur SANTINI n’a sorti de son chapeau que 7 points d’indice supplémentaires pour le début du deuxième nouveau grade. C’est ridicule, dans la précédente proposition 10 points séparaient les deux premiers grades, et le ministre propose de le porter à 17 points. C’est donc cela qui selon lui doit sanctionner deux années d’études après le bac 78 € bruts par mois ?
En dehors de cette mirifique proposition, rien !... Ou si quand même, une vague promesse de reparler dans le cadre des négociations sur la catégorie A, de la création d’un statut d’emplois situé sur un indice que l’on ne connaît pas pour les B méritants. Oui vous avez bien lu les B méritants c'est-à-dire que les autres, ceux qui n’auront pas accès à ce statut d’emplois, ne le seront pas.
Conscient quand même de notre réticence à exprimer de la joie et de l’absence de perspective d’un accord « signable», monsieur SANTINI nous a fait valoir qu’il fallait dans la période apprécier le chemin parcouru par le gouvernement depuis le 3 juillet dernier dans le cadre de ces négociations et que les propositions faites représentaient une charge importante pour le budget de l’état et notamment en répercussion sur les retraites.
Dans quelques jours, le gouvernement présentera son projet à l’ensemble des organisations syndicales signataires ou non de l’accord du 21 février 2008.
A n’en pas douter, il va y avoir du sport.
La CFDT avait signé pour se donner les moyens de négocier elle n’a pas renoncé avant d'avoir tout mis en œuvre pour la réussite de cette réforme. Nous avons « payé pour voir » et nous avons vu un ministre (Monsieur WOERTH) empêtré dans ses casquettes de ministre de la Fonction publique et de ministre du Budget ne sachant jamais résister aux discours de ses fonctionnaires du budget face à ceux de la gestion des ressources humaines de la fonction publique.
Lamentable !
Jean-Claude Lenay
André Santini a présenté aux signataires des accords de février 2008 sa dernière proposition de réforme de la catégorie B avant de la présenter à l'ensemble des OS. Franchement, est-ce que ça vaut encore la peine de négocier ?
Les propositions de réforme du B
La réunion conclusive du comité de suivi du 15 décembre 2008 s’était soldée par un constat d’échec de la négociation sur la réforme de la catégorie B. En effet, le gouvernement maintenait sa volonté de rallonger les carrières tout en n’augmentant pas significativement les indices du sommet de grade. Par ailleurs en ne maintenant que dix points d’écart entre le recrutement à niveau bac et le recrutement à bac+2, il ne marquait pas suffisamment la distinction entre ces deux niveaux.
L’UFFA CFDT avait adressé un courrier au ministre le 16 décembre 2008 pour lui indiquer les éléments conditionnant notre engagement.
Nous ne pouvions être plus clairs :
- Un indice brut terminal porté à 701 à terme et accessible à tous
- Une durée de carrière au maximum de 32 ans à terme
- Une différenciation suffisamment marquée entre le 1er et le 2ème grade pour valoriser le recrutement à Bac +2
Ensuite, silence. Depuis trois mois et demi, aucune nouvelle du gouvernement jusqu’à cette nouvelle réunion conclusive du 30 mars 2009. Nous pouvions attendre et espérions compte tenu du délai exceptionnellement long, que le gouvernement aurait eu le temps de murir sa décision et de racler les fonds de tiroir pour trouver les ingrédients nécessaires pour une conclusion positive.
Hélas, cent fois hélas, le secrétaire d’état à la fonction publique Monsieur SANTINI n’a sorti de son chapeau que 7 points d’indice supplémentaires pour le début du deuxième nouveau grade. C’est ridicule, dans la précédente proposition 10 points séparaient les deux premiers grades, et le ministre propose de le porter à 17 points. C’est donc cela qui selon lui doit sanctionner deux années d’études après le bac 78 € bruts par mois ?
En dehors de cette mirifique proposition, rien !... Ou si quand même, une vague promesse de reparler dans le cadre des négociations sur la catégorie A, de la création d’un statut d’emplois situé sur un indice que l’on ne connaît pas pour les B méritants. Oui vous avez bien lu les B méritants c'est-à-dire que les autres, ceux qui n’auront pas accès à ce statut d’emplois, ne le seront pas.
Conscient quand même de notre réticence à exprimer de la joie et de l’absence de perspective d’un accord « signable», monsieur SANTINI nous a fait valoir qu’il fallait dans la période apprécier le chemin parcouru par le gouvernement depuis le 3 juillet dernier dans le cadre de ces négociations et que les propositions faites représentaient une charge importante pour le budget de l’état et notamment en répercussion sur les retraites.
Dans quelques jours, le gouvernement présentera son projet à l’ensemble des organisations syndicales signataires ou non de l’accord du 21 février 2008.
A n’en pas douter, il va y avoir du sport.
La CFDT avait signé pour se donner les moyens de négocier elle n’a pas renoncé avant d'avoir tout mis en œuvre pour la réussite de cette réforme. Nous avons « payé pour voir » et nous avons vu un ministre (Monsieur WOERTH) empêtré dans ses casquettes de ministre de la Fonction publique et de ministre du Budget ne sachant jamais résister aux discours de ses fonctionnaires du budget face à ceux de la gestion des ressources humaines de la fonction publique.
Lamentable !
Jean-Claude Lenay
Le fonds d’investissement social se met enfin en place
10/04/2009
Le fonds d’investissement social se met enfin en place
Annoncé le 18 février, le Fiso a été officiellement installé ce 10 avril à l’Élysée, en présence des partenaires sociaux, associés à son pilotage. Pour la CFDT, un des enjeux est de former massivement les salariés en vue de la sortie de crise.
C’est le principal acquis du sommet social du 18 février. À l’origine, le fonds d’investissement social est une revendication de la CFDT pour « alléger les conséquences de la crise pour ceux qui en payent le prix lourd », a rappelé le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque : « les jeunes qui vont avoir plus de difficultés à trouver un emploi, les salariés qui ont perdu ou vont perdre leur emploi et ceux qui sont confrontés à une activité fortement réduite ».
Ce Fiso a été officiellement mis en place vendredi 10 avril à l’Élysée. Dispositif conjoncturel pour faire face à la crise, il « a pour objet de coordonner les efforts en faveur de l’emploi et de la formation professionnelle accomplis par l’État et les partenaires sociaux dans la lutte contre la crise », indique le document constitutif du fonds.
Amplifier les actions pour l’emploi et la formation
L’idée initiale de la CFDT de « former massivement les salariés plutôt que licencier » a été précisée. Le Fiso prévoit notamment l’amélioration de l’indemnisation du chômage partiel de 60 à 75% du salaire brut, prime forfaitaire de 500 euros aux demandeurs d’emplois non indemnisés, la reconversion des salariés bénéficiaires du contrat de transition professionnelle et de la conversion de reclassement personnalisé, la formation des demandeurs d’emploi et des salariés peu qualifiés ou en chômage partiel et renforcement des politiques d’emploi et de formation professionnelle des jeunes.
Piloté par une cellule composée des responsables des organisations syndicales et d’employeurs et présidée par la ministre de l’Économie, Christine Lagarde, qui sera appelée à se réunir chaque mois, le fonds d’investissement social coordonne des dispositifs jusqu’alors épars, qu’il vise à amplifier. Pour ce faire, le Fiso « accorde un label aux programmes, actions ou dispositifs légaux, réglementaires ou partenariaux existant ou à créer », précise le document constitutif. « Au-delà, nous souhaitons que le fonds d'investissement soit lui-même force de proposition », a indiqué François Chérèque à l’Élysée.
Un financement insuffisant
Des questions demeurent encore en suspens. À commencer par le financement. Lors du sommet social du 18 février, le chef de l’État avait annoncé une dotation de 2,5 à 3 milliards d’euros, dont la moitié amenée par l’État. « Le budget du Fiso est très insuffisant, regrette le secrétaire national Marcel Grignard : il faudrait 5 à 7 milliards pour former 300 000 à 500 000 personnes d’ici la fin 2010. »
Pour atteindre cet objectif ambitieux, la CFDT proposait de l’abonder grâce à la suspension du bouclier fiscal et au contingentement des heures supplémentaires défiscalisées, symboles d’injustice sociale en ces temps de crise. Lors de l’installation du fonds, le chef de l’État s’est dit ouvert à un accroissement des moyens financiers si nécessaire. Une nouvelle réunion, avant l’été, devra permettre de tirer les premiers enseignements du fonctionnement du Fiso et de procéder aux éventuels ajustements. La première réunion de la cellule de pilotage devrait quant à elle se tenir d’ici la fin avril.
Le secrétaire général de la CFDT a redit ses objectifs : « Au final ce qui compte, ce n'est ni d'où provient l'argent, ni qui a monté ce projet. L'évaluation portera sur la qualité des projets, sur l'aide réellement apportée aux salariés et, à terme, sur la compétitivité de notre pays. » François Chérèque a rappelé que « pour la CFDT, il y a urgence » : « Urgence parce que chaque jour des salariés perdent leur emploi ou sont sous le coup d’une annonce d’un plan social, des jeunes ont plus de difficultés à trouver un stage ou un emploi. Il est grand temps de donner à chacun un peu d’espoir dans une crise qui nourrit inquiétudes et incertitudes. » Le Fiso est en place. Reste à le rendre opérationnel à très brève échéance.
Aurélie Seigne
photo : © Ludovic/REA
Le fonds d’investissement social se met enfin en place
Annoncé le 18 février, le Fiso a été officiellement installé ce 10 avril à l’Élysée, en présence des partenaires sociaux, associés à son pilotage. Pour la CFDT, un des enjeux est de former massivement les salariés en vue de la sortie de crise.
C’est le principal acquis du sommet social du 18 février. À l’origine, le fonds d’investissement social est une revendication de la CFDT pour « alléger les conséquences de la crise pour ceux qui en payent le prix lourd », a rappelé le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque : « les jeunes qui vont avoir plus de difficultés à trouver un emploi, les salariés qui ont perdu ou vont perdre leur emploi et ceux qui sont confrontés à une activité fortement réduite ».
Ce Fiso a été officiellement mis en place vendredi 10 avril à l’Élysée. Dispositif conjoncturel pour faire face à la crise, il « a pour objet de coordonner les efforts en faveur de l’emploi et de la formation professionnelle accomplis par l’État et les partenaires sociaux dans la lutte contre la crise », indique le document constitutif du fonds.
Amplifier les actions pour l’emploi et la formation
L’idée initiale de la CFDT de « former massivement les salariés plutôt que licencier » a été précisée. Le Fiso prévoit notamment l’amélioration de l’indemnisation du chômage partiel de 60 à 75% du salaire brut, prime forfaitaire de 500 euros aux demandeurs d’emplois non indemnisés, la reconversion des salariés bénéficiaires du contrat de transition professionnelle et de la conversion de reclassement personnalisé, la formation des demandeurs d’emploi et des salariés peu qualifiés ou en chômage partiel et renforcement des politiques d’emploi et de formation professionnelle des jeunes.
Piloté par une cellule composée des responsables des organisations syndicales et d’employeurs et présidée par la ministre de l’Économie, Christine Lagarde, qui sera appelée à se réunir chaque mois, le fonds d’investissement social coordonne des dispositifs jusqu’alors épars, qu’il vise à amplifier. Pour ce faire, le Fiso « accorde un label aux programmes, actions ou dispositifs légaux, réglementaires ou partenariaux existant ou à créer », précise le document constitutif. « Au-delà, nous souhaitons que le fonds d'investissement soit lui-même force de proposition », a indiqué François Chérèque à l’Élysée.
Un financement insuffisant
Des questions demeurent encore en suspens. À commencer par le financement. Lors du sommet social du 18 février, le chef de l’État avait annoncé une dotation de 2,5 à 3 milliards d’euros, dont la moitié amenée par l’État. « Le budget du Fiso est très insuffisant, regrette le secrétaire national Marcel Grignard : il faudrait 5 à 7 milliards pour former 300 000 à 500 000 personnes d’ici la fin 2010. »
Pour atteindre cet objectif ambitieux, la CFDT proposait de l’abonder grâce à la suspension du bouclier fiscal et au contingentement des heures supplémentaires défiscalisées, symboles d’injustice sociale en ces temps de crise. Lors de l’installation du fonds, le chef de l’État s’est dit ouvert à un accroissement des moyens financiers si nécessaire. Une nouvelle réunion, avant l’été, devra permettre de tirer les premiers enseignements du fonctionnement du Fiso et de procéder aux éventuels ajustements. La première réunion de la cellule de pilotage devrait quant à elle se tenir d’ici la fin avril.
Le secrétaire général de la CFDT a redit ses objectifs : « Au final ce qui compte, ce n'est ni d'où provient l'argent, ni qui a monté ce projet. L'évaluation portera sur la qualité des projets, sur l'aide réellement apportée aux salariés et, à terme, sur la compétitivité de notre pays. » François Chérèque a rappelé que « pour la CFDT, il y a urgence » : « Urgence parce que chaque jour des salariés perdent leur emploi ou sont sous le coup d’une annonce d’un plan social, des jeunes ont plus de difficultés à trouver un stage ou un emploi. Il est grand temps de donner à chacun un peu d’espoir dans une crise qui nourrit inquiétudes et incertitudes. » Le Fiso est en place. Reste à le rendre opérationnel à très brève échéance.
Aurélie Seigne
photo : © Ludovic/REA
REUNION DU 3 AVRIL AVEC R MALATESTA ET JL BERTOGLIO: COMPTE RENDU DE LA CFDT
Intersyndicale C.F.D.T‐C.F.T.C‐C.G.T‐F.S.U‐U.N.S.A
Ville de Marseille, C.U.M, C.C.A.S
A
Monsieur CASELLI
Président de la Communauté Urbaine
Objet : Notre rencontre du 3 Avril et notre préavis de grève
Monsieur le Président,
Suite à la rencontre que nous avons eue le 3 Avril dernier, nous vous indiquons que l’intersyndicale réunie le 9 Avril 2009, prenant en compte les réponses politiques apportées à notre cahier revendicatif a décidé :
De suspendre notre préavis de grève pour ce qui concerne la Communauté Urbaine.
Nous avons en effet apprécié à la fois la rapidité de réaction politique à notre demande de rendez vous, ainsi que les réponses apportées au cours de cette réunion, pour ce qui concerne l’essentiel de nos demandes.
Cependant, nous souhaitons de votre part confirmation écrite de la démarche annoncée tant pour ce qui concerne, de manière générale les moyens attribués pour le fonctionnement d’un service public efficace au service de la population, mais aussi de manière plus précise pour ce qui concerne :
L’emploi public, son maintien en cas de retraites ou de mutation, voire son développement pour remplir les missions qui sont les nôtres au service de la population et bien entendu l’arrêt des privatisations et du démantèlement des services publics.
La résorption des emplois précaires, avec en particulier, la modification des contrats de travail : passage de C.D.D. en C.D.I.
En effet, à partir du moment où l’agent contractuel employé dans un service, se voit confirmé sur le poste en recevant un nouveau contrat à durée déterminée, ce nouveau contrat passe ipso-facto de C.D.D. à C.D.I.
Cette disposition doit-être appliquée, à fortiori, lorsque ce sont plus de deux C.D.D. qui se succèdent.
L’objectif de 100 % des ratios pour les nominations d’avancement de grade est une préoccupation majeure. A partir du moment où la réussite à l’examen professionnel
(ou au concours) est acquise, les Agents doivent bénéficier de la promotion qu’ils ont mérité. Nous avons quelques exemples de réussite à des examens professionnels de rédacteur, qui n’ont pas été sanctionnés par cette disposition. La validité des concours ou examens, n’étant pas permanente, certains collègues vont, si vous n’intervenez pas, perdre le bénéfice de cette réussite. Ce qui serait dénier l’utilité des concours auxquels, pourtant, messieurs BERTOGLIO et MALATESTA, sont particulièrement attachés.
Le principe du recrutement statutaire, y compris pour l’encadrement de haut niveau est un principe à retenir.
Nous aimerions aussi, que la proposition, que vous avez faite, de réunion(s) de travail avec l’Intersyndicale sur la question du régime indemnitaire, qui selon nous doit être reconstruit en toute transparence, nous soit confirmée par écrit.
Enfin, bien que votre réponse soit sur ce point, des plus évasives, nous maintenons notre demande d’urgence sociale, laquelle doit se traduire par une augmentation de
200 €, par mois pour chaque agent.
Nous considérons notamment que les observations apportées par la Chambre régionale des comptes dans son rapport 2005, offre une piste de financement toute tracée sans grever le budget de la communauté urbaine:
Le différentiel charges de personnel (64,334 M€) avec les montants versés (75,115 M€)
Ce sont donc plus de 10 M€ que MPM restitue en trop chaque année à la Ville de Marseille.(cf page 10 du rapport de la CRC/contrôle MPM en 2005 )
D’autres choix relatés par la presse montrent que la gestion administrative a privilégié le remboursement anticipé de la dette, au détriment d’un partage plus équitable entre remboursement de la dette et rémunération du travail
Persuadée de votre écoute, et dans l’espoir d’une réponse rapide, nous vous prions, Monsieur Le Président, de bien vouloir accepter nos sincères salutations.
Pour L’Intersyndicale C.F.D.T‐C.F.T.C‐C.G.T‐F.S.U‐U.N.S.A
Ville de Marseille, C.U.M, C.C.A.S
Le Bureau CFDT
Ville de Marseille, C.U.M, C.C.A.S
A
Monsieur CASELLI
Président de la Communauté Urbaine
Objet : Notre rencontre du 3 Avril et notre préavis de grève
Monsieur le Président,
Suite à la rencontre que nous avons eue le 3 Avril dernier, nous vous indiquons que l’intersyndicale réunie le 9 Avril 2009, prenant en compte les réponses politiques apportées à notre cahier revendicatif a décidé :
De suspendre notre préavis de grève pour ce qui concerne la Communauté Urbaine.
Nous avons en effet apprécié à la fois la rapidité de réaction politique à notre demande de rendez vous, ainsi que les réponses apportées au cours de cette réunion, pour ce qui concerne l’essentiel de nos demandes.
Cependant, nous souhaitons de votre part confirmation écrite de la démarche annoncée tant pour ce qui concerne, de manière générale les moyens attribués pour le fonctionnement d’un service public efficace au service de la population, mais aussi de manière plus précise pour ce qui concerne :
L’emploi public, son maintien en cas de retraites ou de mutation, voire son développement pour remplir les missions qui sont les nôtres au service de la population et bien entendu l’arrêt des privatisations et du démantèlement des services publics.
La résorption des emplois précaires, avec en particulier, la modification des contrats de travail : passage de C.D.D. en C.D.I.
En effet, à partir du moment où l’agent contractuel employé dans un service, se voit confirmé sur le poste en recevant un nouveau contrat à durée déterminée, ce nouveau contrat passe ipso-facto de C.D.D. à C.D.I.
Cette disposition doit-être appliquée, à fortiori, lorsque ce sont plus de deux C.D.D. qui se succèdent.
L’objectif de 100 % des ratios pour les nominations d’avancement de grade est une préoccupation majeure. A partir du moment où la réussite à l’examen professionnel
(ou au concours) est acquise, les Agents doivent bénéficier de la promotion qu’ils ont mérité. Nous avons quelques exemples de réussite à des examens professionnels de rédacteur, qui n’ont pas été sanctionnés par cette disposition. La validité des concours ou examens, n’étant pas permanente, certains collègues vont, si vous n’intervenez pas, perdre le bénéfice de cette réussite. Ce qui serait dénier l’utilité des concours auxquels, pourtant, messieurs BERTOGLIO et MALATESTA, sont particulièrement attachés.
Le principe du recrutement statutaire, y compris pour l’encadrement de haut niveau est un principe à retenir.
Nous aimerions aussi, que la proposition, que vous avez faite, de réunion(s) de travail avec l’Intersyndicale sur la question du régime indemnitaire, qui selon nous doit être reconstruit en toute transparence, nous soit confirmée par écrit.
Enfin, bien que votre réponse soit sur ce point, des plus évasives, nous maintenons notre demande d’urgence sociale, laquelle doit se traduire par une augmentation de
200 €, par mois pour chaque agent.
Nous considérons notamment que les observations apportées par la Chambre régionale des comptes dans son rapport 2005, offre une piste de financement toute tracée sans grever le budget de la communauté urbaine:
Le différentiel charges de personnel (64,334 M€) avec les montants versés (75,115 M€)
Ce sont donc plus de 10 M€ que MPM restitue en trop chaque année à la Ville de Marseille.(cf page 10 du rapport de la CRC/contrôle MPM en 2005 )
D’autres choix relatés par la presse montrent que la gestion administrative a privilégié le remboursement anticipé de la dette, au détriment d’un partage plus équitable entre remboursement de la dette et rémunération du travail
Persuadée de votre écoute, et dans l’espoir d’une réponse rapide, nous vous prions, Monsieur Le Président, de bien vouloir accepter nos sincères salutations.
Pour L’Intersyndicale C.F.D.T‐C.F.T.C‐C.G.T‐F.S.U‐U.N.S.A
Ville de Marseille, C.U.M, C.C.A.S
Le Bureau CFDT
TRACT DE L'INTERSYNDICALE: CASELLI négocie GAUDIN nous ignore !
Intersyndicale C.F.D.T-C.F.T.C-C.G.T-F.S.U-U.N.S.A
C.U.M
UN TRAITEMENT DIFFERENCIE
L’Intersyndicale a été reçue rapidement par des élus de la Communauté Urbaine.
Nos demandes ont été entendues et notamment :
L’emploi public : son maintien en cas de départ à la retraite ou de mutation, son développement pour remplir les missions qui sont les nôtres au service de la population et bien entendu l'arrêt des privatisations et du démantèlement des services publics.
La résorption des emplois précaires,
L’objectif de 100 % des ratios pour les nominations d’avancement de grade.
Le principe du recrutement statutaire, y compris pour l’encadrement de haut niveau
L’Intersyndicale sera reçue pour négocier une mise à plat du régime indemnitaire, en vue de reconstruire un système sur des principes d’égalité et de transparence.
UN POINT D’INTERROGATION : La revendication d’une augmentation de 200 euro par mois, pour chaque agent, répondant selon nous à une urgence sociale actuelle, n’a pas reçu de réponse positive dans l’immédiat.
Les élus se sont engagés à nous transmettre par écrit les engagements pris lors de cette rencontre.
Par ailleurs, nous allons travailler un document permettant d’amener aux élus de la Communauté urbaine des éléments leur permettant de revoir leur position sur la question des 200 €.
Le préavis de grève est donc suspendu en ce qui concerne la Communauté urbaine mais nous appelons nos collègues à rejoindre la manifestation devant l’Hôtel de Ville de Marseille à partir de 11 H, car nous ne pourrons gagner que tous ensemble.
POUR la VILLE de Marseille et le C.C.A.S :
Les élus et l’administration de la Ville de Marseille et du C.C.A.S n’ont, jusqu’à aujourd’hui donné aucune réponse aux revendications portées par l’Intersyndicale.
NOTRE POSITION : Il s’agit de prendre en compte cette situation pour dans l’unité poursuivre l’action.
L'appel à la grève est maintenu pour la ville de Marseille et le C.C.A.S
APPEL A LA GREVE (VILLE ET C.C.A.S)
LE 16 AVRIL 2009 DE 11 H A 14 H
ET RASSEMBLEMENT DEVANT L’HOTEL DE VILLE
Devant l’autisme et la cécité des élus de la ville de Marseille face aux revendications du personnel et dans le cadre des engagements unitaires des confédérations syndicales, l’Intersyndicale appelle tous les agents à cesser le travail le 16 Avril à partir de 11 H et à se rassembler devant l’Hôtel de ville pour faire pression et obtenir satisfaction :
Pour l’emploi public et l’arrêt des privatisations.
La résorption des emplois précaires.
100 % des ratios pour les nominations d’avancement de grade.
Recrutement statutaire y compris pour l’encadrement.
Urgence sociale = 200 € par mois pour chaque agent.
Une remise à plat du régime indemnitaire avec l'ensemble des organisations syndicales.
Les modalités techniques : Pour les agents de la Ville de Marseille et du C.C.A.S, un prévis de grève a été déposé par l’intersyndicale pour le 16 Avril de 11 h à 14 h.
La coupure des heures de repas est à déduire du temps de grève.
C’EST TOUS ENSEMBLE
QUE L’ON PEUT GAGNER
Intersyndicale C.F.D.T-C.F.T.C-C.G.T-F.S.U-U.N.S.A
Ville Marseille et CCAS
C.U.M
UN TRAITEMENT DIFFERENCIE
L’Intersyndicale a été reçue rapidement par des élus de la Communauté Urbaine.
Nos demandes ont été entendues et notamment :
L’emploi public : son maintien en cas de départ à la retraite ou de mutation, son développement pour remplir les missions qui sont les nôtres au service de la population et bien entendu l'arrêt des privatisations et du démantèlement des services publics.
La résorption des emplois précaires,
L’objectif de 100 % des ratios pour les nominations d’avancement de grade.
Le principe du recrutement statutaire, y compris pour l’encadrement de haut niveau
L’Intersyndicale sera reçue pour négocier une mise à plat du régime indemnitaire, en vue de reconstruire un système sur des principes d’égalité et de transparence.
UN POINT D’INTERROGATION : La revendication d’une augmentation de 200 euro par mois, pour chaque agent, répondant selon nous à une urgence sociale actuelle, n’a pas reçu de réponse positive dans l’immédiat.
Les élus se sont engagés à nous transmettre par écrit les engagements pris lors de cette rencontre.
Par ailleurs, nous allons travailler un document permettant d’amener aux élus de la Communauté urbaine des éléments leur permettant de revoir leur position sur la question des 200 €.
Le préavis de grève est donc suspendu en ce qui concerne la Communauté urbaine mais nous appelons nos collègues à rejoindre la manifestation devant l’Hôtel de Ville de Marseille à partir de 11 H, car nous ne pourrons gagner que tous ensemble.
POUR la VILLE de Marseille et le C.C.A.S :
Les élus et l’administration de la Ville de Marseille et du C.C.A.S n’ont, jusqu’à aujourd’hui donné aucune réponse aux revendications portées par l’Intersyndicale.
NOTRE POSITION : Il s’agit de prendre en compte cette situation pour dans l’unité poursuivre l’action.
L'appel à la grève est maintenu pour la ville de Marseille et le C.C.A.S
APPEL A LA GREVE (VILLE ET C.C.A.S)
LE 16 AVRIL 2009 DE 11 H A 14 H
ET RASSEMBLEMENT DEVANT L’HOTEL DE VILLE
Devant l’autisme et la cécité des élus de la ville de Marseille face aux revendications du personnel et dans le cadre des engagements unitaires des confédérations syndicales, l’Intersyndicale appelle tous les agents à cesser le travail le 16 Avril à partir de 11 H et à se rassembler devant l’Hôtel de ville pour faire pression et obtenir satisfaction :
Pour l’emploi public et l’arrêt des privatisations.
La résorption des emplois précaires.
100 % des ratios pour les nominations d’avancement de grade.
Recrutement statutaire y compris pour l’encadrement.
Urgence sociale = 200 € par mois pour chaque agent.
Une remise à plat du régime indemnitaire avec l'ensemble des organisations syndicales.
Les modalités techniques : Pour les agents de la Ville de Marseille et du C.C.A.S, un prévis de grève a été déposé par l’intersyndicale pour le 16 Avril de 11 h à 14 h.
La coupure des heures de repas est à déduire du temps de grève.
C’EST TOUS ENSEMBLE
QUE L’ON PEUT GAGNER
Intersyndicale C.F.D.T-C.F.T.C-C.G.T-F.S.U-U.N.S.A
Ville Marseille et CCAS
Rencontre du 3 avril avec le Président de MPM: Lettre au Président Eugène CASELLI
INTERSYNDICALE C.F.D.T-C.F.T.C-C.G.T-F.S.U-U.N.S.A
VILLE DE MARSEILLE-CUM-CCAS
Marseille le 10 avril 2009
A l'attention de
Monsieur Eugène CASELLI
Président de la CUMPM
Objet : Rencontre du 3 avril et préavis de grève
Monsieur le Président,
Suite à la rencontre que nous avons eu le 3 avril dernier, nous vous indiquons que l'intersyndicale réunie le 9 avril 2009, prenant en compte les réponses politiques apportées à notre cahier revendicatif a décidé : De suspendre notre préavis de grève pour ce qui concerne la Communauté Urbaine.
Nous avons en effet apprécié à la fois la rapidité de réaction politique à notre demande de rendez-vous, ainsi que les réponses apportées au cours de cette réunion, pour ce qui concerne l'essentiel de nos demandes.
Cependant, nous souhaitons de votre part confirmation écrite de la démarche annoncée tant pour ce qui concerne de manière générale, les moyens attribués pour le fonctionnement d'un service public efficace, au service de la population mais aussi, de manière plus précise pour ce qui concerne :
L'emploi public, son maintien en cas de départ à la retraite ou de mutation, son développement pour remplir les missions qui sont les nôtres au service de la population et bien entendu, l'arrêt des privatisations et du démantèlement des services publics.
La résorption des emplois précaires.
L'objectif de 100% des ratios pour les nominations d'avancement de grade.
Le principe du recrutement statutaire, y compris pour l'encadrement de haut niveau.
Nous aimerions avoir aussi une confirmation écrite de la proposition que vous avez faite de réunion de travail avec l'intersyndicale, sur la question du régime indemnitaire, pour une mise à plat et une reconstruction en toute transparence.
Enfin, bien que votre réponse soit sur ce point, des plus évasives, nous maintenons notre demande d'urgence sociale qui doit se traduire par une augmentation de 200 euro par mois pour chaque agent.
Persuadés de votre écoute et dans l'attente d'une réponse rapide de votre part, nous vous prions de recevoir, Monsieur le Président, nos respectueuses salutations.
Pour la CFDT Pour la CFTC Pour la CGT des Territoriaux
ABBINANTI Christine Fabienne AMATO Pascale BEAULIEUX
Pour la FSU Pour l'UNSA Pour la CGT des I.C.T
Roger AYMARD Claude KASBARIAN Esther FOUCHIER
Préavis de grève le 16 avril 11h 14h devant l'Hotel de Ville par la CGT,CGT-ITC, UNSA, SDU-FSU13, CFTC, CFDT.
L’intersyndicale CGT, UNSA, CFTC, CFDT, SDU-FSU13, CGT-ITC
Ville de Marseille et C.C.A.S
Marseille le 09/04/2009
A l’attention de :
Monsieur Jean-Claude GAUDIN
Sénateur/Maire de Marseille
Hôtel de Ville
RECOMMANDE A/R
Réf : JC /n°16
L’intersyndicale CGT, UNSA, CFTC, CFDT, SDU-FSU13, CGT-ITC
Ville de Marseille et C.C.A.S
Marseille le 09/04/2009
A l’attention de :
Monsieur Jean-Claude GAUDIN
Sénateur/Maire de Marseille
Hôtel de Ville
RECOMMANDE A/R
Réf : JC /n°16
Préavis de grève
Monsieur le Sénateur Maire,
L’intersyndicale citée ci-dessus dépose ce jour le 09 avril 2009 un préavis de grève d’une durée de 3h et appelle l’ensemble des agents municipaux, à participer à cette action le 16 avril 2009 de 11h à 14h devant l’hôtel de Ville
sur la base des revendications suivantes :
Des moyens pour un service public de qualité,
La défense de l’emploi public
La résorption des emplois précaires
Le remplacement de tous les départs à la retraite
100 % des ratios pour les nominations d’avancement de grade
Organisation d’un C.T.P extraordinaire pour renégocier le régime indemnitaire.
L’arrêt des privatisations et du démantèlement des services publics
URGENCE SOCIALE 200 EUROS : Devant la dégradation des conditions de vie des familles, liées aux évolutions du coût de la vie et de la baisse du pouvoir d’achat, l’urgence sociale nécessite une hausse immédiate de 200 € par mois et pour tous les agents.
Conformément à l’article L521-3 du code du travail, je vous rappelle qu’il vous appartient d’utiliser la période de préavis pour négocier sur la base des points énoncés ci-dessus.
Nous vous prions d’agréer Monsieur le Maire nos respectueuses salutations.
Pour la CFDT
Christine ABBINANTI
Pour la CGT
Pascale BAULIEUX
Pour l’UNSA
Josselyne COZZOLINO
Pour la CFTC
Fabienne AMATO
Pour le SDU-FSU13
Roger AYMARD
Pour la CGT- ITC
Fabrice AUBERT
Ville de Marseille et C.C.A.S
Marseille le 09/04/2009
A l’attention de :
Monsieur Jean-Claude GAUDIN
Sénateur/Maire de Marseille
Hôtel de Ville
RECOMMANDE A/R
Réf : JC /n°16
L’intersyndicale CGT, UNSA, CFTC, CFDT, SDU-FSU13, CGT-ITC
Ville de Marseille et C.C.A.S
Marseille le 09/04/2009
A l’attention de :
Monsieur Jean-Claude GAUDIN
Sénateur/Maire de Marseille
Hôtel de Ville
RECOMMANDE A/R
Réf : JC /n°16
Préavis de grève
Monsieur le Sénateur Maire,
L’intersyndicale citée ci-dessus dépose ce jour le 09 avril 2009 un préavis de grève d’une durée de 3h et appelle l’ensemble des agents municipaux, à participer à cette action le 16 avril 2009 de 11h à 14h devant l’hôtel de Ville
sur la base des revendications suivantes :
Des moyens pour un service public de qualité,
La défense de l’emploi public
La résorption des emplois précaires
Le remplacement de tous les départs à la retraite
100 % des ratios pour les nominations d’avancement de grade
Organisation d’un C.T.P extraordinaire pour renégocier le régime indemnitaire.
L’arrêt des privatisations et du démantèlement des services publics
URGENCE SOCIALE 200 EUROS : Devant la dégradation des conditions de vie des familles, liées aux évolutions du coût de la vie et de la baisse du pouvoir d’achat, l’urgence sociale nécessite une hausse immédiate de 200 € par mois et pour tous les agents.
Conformément à l’article L521-3 du code du travail, je vous rappelle qu’il vous appartient d’utiliser la période de préavis pour négocier sur la base des points énoncés ci-dessus.
Nous vous prions d’agréer Monsieur le Maire nos respectueuses salutations.
Pour la CFDT
Christine ABBINANTI
Pour la CGT
Pascale BAULIEUX
Pour l’UNSA
Josselyne COZZOLINO
Pour la CFTC
Fabienne AMATO
Pour le SDU-FSU13
Roger AYMARD
Pour la CGT- ITC
Fabrice AUBERT
mercredi 1 avril 2009
Communiqué de la CFDT :Le Président de MPM reçoit l'intersyndicale ce vendredi 3 avril
INTERSYNDICALE C.F.D.T-C.F.T.C-C.G.T-F.S.U-U.N.S.A,
Ville de Marseille, C.U.MPM, C.C.A.S
TOUS ENSEMBLE, ON CONTINUE
UNE DEMARCHE UNITAIRE LOCALE QUI MONTE : Depuis le 24 Février, l'intersyndicale travaille sur une plate forme revendicative répondant aux besoins exprimés lors des manifestations. On exige de l’Administration :
• Des moyens pour un service public de qualité,
• La défense de l’emploi public (création de poste pour les mutations, Dispo etc…)
• La résorption des emplois précaires (vacataires, contractuelles…)
• Le remplacement de tous les départs à la retraite
• 100 % des ratios pour les nominations d’avancement de grade
• Organisation d’un C.T.P extraordinaire pour renégocier le régime indemnitaire.
• L’arrêt des privatisations et du démantèlement des services publics
L’URGENCE SOCIALE C’EST 200 EUROS : Devant la dégradation des conditions de vie des familles, liées aux évolutions du coût de la vie et de la baisse du pouvoir d’achat, l’urgence sociale nécessite une hausse immédiate de 200 € par mois et pour tous les agents. Dans un courrier envoyé le 25 Mars à l’Administration, celle-ci a jusqu’au 6 Avril, pour que l’intersyndicale soit reçue en vue d’obtenir satisfaction.
APPEL A LA GREVE : Dès maintenant, dans le cas du refus de l’Administration, vous devez intervenir. De votre mobilisation, dépendra la satisfaction de vos revendications. Grève unitaire,
Le jeudi 16 Avril de 11 h à 14 h devant la Mairie.
Un préavis de grève couvrant tous les agents sera déposé.
Cette urgence sociale ne règle pas la question salariale, du fait des arriérés liés au G.V.T .
SEULE UNE HAUSSE DURABLE DES SALAIRES PEUT NOUS SORTIR DE LA CRISE
Ville de Marseille, C.U.MPM, C.C.A.S
TOUS ENSEMBLE, ON CONTINUE
UNE DEMARCHE UNITAIRE LOCALE QUI MONTE : Depuis le 24 Février, l'intersyndicale travaille sur une plate forme revendicative répondant aux besoins exprimés lors des manifestations. On exige de l’Administration :
• Des moyens pour un service public de qualité,
• La défense de l’emploi public (création de poste pour les mutations, Dispo etc…)
• La résorption des emplois précaires (vacataires, contractuelles…)
• Le remplacement de tous les départs à la retraite
• 100 % des ratios pour les nominations d’avancement de grade
• Organisation d’un C.T.P extraordinaire pour renégocier le régime indemnitaire.
• L’arrêt des privatisations et du démantèlement des services publics
L’URGENCE SOCIALE C’EST 200 EUROS : Devant la dégradation des conditions de vie des familles, liées aux évolutions du coût de la vie et de la baisse du pouvoir d’achat, l’urgence sociale nécessite une hausse immédiate de 200 € par mois et pour tous les agents. Dans un courrier envoyé le 25 Mars à l’Administration, celle-ci a jusqu’au 6 Avril, pour que l’intersyndicale soit reçue en vue d’obtenir satisfaction.
APPEL A LA GREVE : Dès maintenant, dans le cas du refus de l’Administration, vous devez intervenir. De votre mobilisation, dépendra la satisfaction de vos revendications. Grève unitaire,
Le jeudi 16 Avril de 11 h à 14 h devant la Mairie.
Un préavis de grève couvrant tous les agents sera déposé.
Cette urgence sociale ne règle pas la question salariale, du fait des arriérés liés au G.V.T .
SEULE UNE HAUSSE DURABLE DES SALAIRES PEUT NOUS SORTIR DE LA CRISE
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